Madame Franceline Lepany, présidente de l’association Sherpa, a explicitement reconnu dans une déclaration faite à l’hebdomadaire « Jeune Afrique » la signature d’une convention de partenariat entre son association et la fondation Bouamatou.
Cette déclaration confirme, si besoin en est, que pour Sherpa, qui prétend exercer un magistère exclusif sur l’éthique des affaires internationales et la bonne gouvernance dans le monde , qui se croit à la pointe de la lutte contre les biens mal acquis, les précautions d’ordre déontologique et professionnel , les motivations grandiloquentes de lutte contre la mauvaise gestion dont elle s’affuble à cor et à cri importent peu par rapport aux retombées matérielles engrangées malhonnêtement.
Ce mélange inouï des genres entre le droit et l’argent entre Sherpa et Bouamatou explique la diffamation et le dénigrement savamment orchestrés par cette organisation contre la Mauritanie en vue de ternir son image de marque depuis 2009 par des informations mensongères. Une stratégie déjà largement explicitée par le journaliste d’investigation, Pierre Péan, dans un livre particulièrement accablant sur les actions conduites en Afrique par des ONG telles que Sherpa et Transparency International, au cœur desquelles se trouve le sulfureux avocat de Bouamatou, maitre William Bourdon.
Docteur Abdallahi Ould Nem
(Reçu à Kassataya le 18 avril 2018)
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