Libération des otages européens : tous les chemins passent par Nouakchott

Après la visite effectuée en mai dernier par le secrétaire d’Etat français à la Coopération et à la Francophonie Alain Joyandet, c’est aujourd’hui le tour du ministre espagnol des Affaires étrangères Miguel Angel Morantinos de se rendre à Nouakchott, devenue un passage incontournable pour la libération des otages européens.

Avec le risque de se trouver avec des dirigeants de l’Aqmi qui ne peuvent plus garder leur sang froid, au terme de plusieurs ultimatums, pour avoir suite favorable à leurs requêtes, c’est le déballage total des hauts responsables français et espagnols pour éviter à leurs ressortissants le pire.

Accueilli par son homologue mauritanien, Miguel Angel Morantinos qui aurait eu déjà des entretiens avec le président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz, aurait incontestablement soulevé le casse-tête de mise en liberté des otages espagnols, contre lesquels, l’Aqmi exige de l’argent et des relaxes de détenus mauritaniens.

Un vrai puzzle qui se pose aux autorités mauritaniennes, refusant jusqu’à présent de se trouver dans la même imposture diplomatique qu’elles reprochent à leurs voisins et frères maliens, lorsque ces derniers, ont accepté de mettre en liberté des recherchés par la justice, pour obtenir la relaxe de Pierre Camatte.

Cette arrivée du chef de la diplomatie espagnole en Mauritanie, est suffisante pour écarter tout séjour proche du président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz vers l’Espagne.

Sur un autre plan, le parallélisme des faits et des circonstances, permet de se poser un tas de questions sur l’acceptation de l’Espagne de permettre aux membres de la famille mauritanienne incarcérés dans cet Etat pour délit de mariage forcé de mineure de purger leur peine dans leur pays, si cette décision n’est faite pour plaire à Nouakchott et pour l’amener à assouplir sa position dans la recherche d’une solution pour la libération des otages espagnols

Après la visite effectuée en mai dernier par le secrétaire d’Etat français à la Coopération et à la Francophonie Alain Joyandet, c’est aujourd’hui le tour du ministre espagnol des Affaires étrangères Miguel Angel Morantinos de se rendre à Nouakchott, devenue un passage incontournable pour la libération des otages européens.

Avec le risque de se trouver avec des dirigeants de l’Aqmi qui ne peuvent plus garder leur sang froid, au terme de plusieurs ultimatums, pour avoir suite favorable à leurs requêtes, c’est le déballage total des hauts responsables français et espagnols pour éviter à leurs ressortissants le pire.

Accueilli par son homologue mauritanien, Miguel Angel Morantinos qui aurait eu déjà des entretiens avec le président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz, aurait incontestablement soulevé le casse-tête de mise en liberté des otages espagnols, contre lesquels, l’Aqmi exige de l’argent et des relaxes de détenus mauritaniens.

Un vrai puzzle qui se pose aux autorités mauritaniennes, refusant jusqu’à présent de se trouver dans la même imposture diplomatique qu’elles reprochent à leurs voisins et frères maliens, lorsque ces derniers, ont accepté de mettre en liberté des recherchés par la justice, pour obtenir la relaxe de Pierre Camatte.

Cette arrivée du chef de la diplomatie espagnole en Mauritanie, est suffisante pour écarter tout séjour proche du président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz vers l’Espagne.

Sur un autre plan, le parallélisme des faits et des circonstances, permet de se poser un tas de questions sur l’acceptation de l’Espagne de permettre aux membres de la famille mauritanienne incarcérés dans cet Etat pour délit de mariage forcé de mineure de purger leur peine dans leur pays, si cette décision n’est faite pour plaire à Nouakchott et pour l’amener à assouplir sa position dans la recherche d’une solution pour la libération des otages espagnols

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page