Dans notre chère Mauritanie en pleine évolution, il y a une énergie qui ne demande qu’à être reconnue : celle des cultures urbaines. Rap, street art, danse, et bien plus encore… Ce mouvement bouillonne de talent et de créativité.
Aujourd’hui, une structure se bat pour leur donner la place qu’elles méritent dans notre paysage culturel, un espace où les voix des jeunes peuvent résonner fort.
En tant que journaliste, je me tiens aux côtés de Coacum et ceux qui défendent cette reconnaissance, car le futur de notre culture appartient aussi à la rue, aux talents de l’ombre, aux artistes qui façonnent une nouvelle identité.
Ensemble, faisons entendre leurs voix !
Souleymane Hountou Djigo
Journaliste, blogueur
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