Le Maroc sous le choc après la mort du petit Rayan
Rayan était tombé accidentellement mardi dans un puits asséché de 32 mètres, étroit et difficile d'accès, creusé près de la maison familiale dans le village d'Ighrane, dans la province de Chefchaouen (nord).
Le Maroc pleure dimanche la mort du petit Rayan , coincé pendant cinq jours au fond d’un puits profond dans une région pauvre du nord du royaume, un drame humain amplifié par les réseaux sociaux qui a suscité une avalanche d’émotion dans le monde entier.
Rayan était tombé accidentellement mardi dans un puits asséché de 32 mètres, étroit et difficile d’accès, creusé près de la maison familiale dans le village d’Ighrane, dans la province de Chefchaouen (nord).
ABDELHAK BALHAKI/Reuters
Rayan était tombé accidentellement mardi dans un puits asséché de 32 mètres, étroit et difficile d’accès, creusé près de la maison familiale dans le village d’Ighrane, dans la province de Chefchaouen (nord).
ABDELHAK BALHAKI/Reuters
Entrés dans une brèche horizontale samedi d’après-midi, les sauveteurs avaient continué leur travail centimètre par centimètre, creusant à la main pour éviter tout éboulement.
STRINGER/Reuters
Les secouristes s’étaient efforcés de faire parvenir de l’oxygène et de l’eau à travers des tubes et bouteilles descendus jusqu’à Rayan, sans certitude qu’il puisse les utiliser.
SNRT NEWS/REUTERS TV
Dès le déclenchement du drame, des milliers de sympathisants ont accouru en signe de solidarité et campé sur place, dans cette zone montagneuse du Rif, à près de 700 mètres d’altitude. A l’approche du dénouement, dans une ambiance fébrile avant qu’elle ne devienne lugubre, la foule a prié et chanté.
REUTERS TV
Dès le déclenchement du drame, des milliers de sympathisants ont accouru en signe de solidarité et campé sur place, dans cette zone montagneuse du Rif, à près de 700 mètres d’altitude. A l’approche du dénouement, dans une ambiance fébrile avant qu’elle ne devienne lugubre, la foule a prié et chanté.