Incontestablement la mondialisation a joué un rôle non négligeable dans la diffusion internationale du coronavirus. La diffusion par des fidèles de la religion est souvent occultée par les médias. Parmi les pays concernés figurent en bonne place l’Iran, la Corée du Sud, la France.
En effet le virus est apparu dès les premières heures à Qom par un marchand chinois revenu de Chine. C’est la capitale du chiisme iranien symbole de la révolution de l’Ayatollah Khomeini qui est atteint. Un lieu de pèlerinage où des milliers de fidèles se rassemblent. C’est dans cette ville qu’on dénombre aujourd’hui plus de morts et de contaminés.
En Corée du Sud c’est par le billet de l’église chrétienne que les adeptes ont contracté le virus. Pareil à Mulhouse en France des fidèles venus de la Corse de la Guyane en passant par l’Ile de France et la Normandie sont contaminés après un rassemblement évangélique.
Dans les trois cas susmentionnés le virus a emprunté la voie de la religion. C’est tout. Ce n’est pas plus important que les autres voies. Les politistes mettent plus en avant ce qu’ils appellent la voie dite des « transmigrations ». C’est-à-dire les allers-retours fréquents entre deux localités de pays différents. Par exemple d’Asie en Californie aux Etats-Unis, de la Colombie-Britannique au Canada et de Montréal et New-York depuis l’Iran. Dans sa course inexorable le virus n’a pas de religion de pays ou de couleur de peau. La crainte aujourd’hui d’une pandémie par l’OMS est bien réelle. C’est une question de temps si le covid-19 n’est pas maîtrisé.
Cherif Kane
Coordinateur journaliste
(Reçu à Kassataya 10 mars 2020)
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