Que l’on soit jeune, vieux, attrayant, repoussant, people, comptable ou secrétaire médicale, on s’est tous un jour, fait balancer comme du gras de jambon.
En général, on a le droit à une petite phrase réconfortante. On croit à tort que la personne qui partageait notre couche jusqu’à présent, veut nous aider à digérer la rupture. Que dalle. C’est tout simplement pour se déculpabiliser. Parmi cette liste, vous avez surement déjà entendu:
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Tu sais, on peut rester amis : ou sa déclinaison « je serais toujours là pour toi, en tant qu’amis ». Le grand classique. Après s’être rendu compte d’avoir été cocufié avec l’équivalent d’un stade de foot (ou d’une boutique de chaussures un samedi) pourquoi diable ne pas rester amis ? C’est vrai, merde.
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C’est pas toi, c’est moi : rassurant. Effectivement alors, dans ces cas là, tout va bien.
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Je me remet à peine d’une rupture douloureuse, je ne veux pas m’engager pour l’instant : passer directement d’une relation destructrice à une relation saine, on comprend que ce soit difficile.
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T’inquiètes pas, je ne sortirais pas avec quelqu’un d’autre tout de suite, et surtout pas avec (nom au choix), c’est juste un pote : généralement suivis dès le lendemain par un « Et dis donc, j’ai croisé ta Maïté hier soir à la ginguette. C’était chaud avec Ferdinand ».
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Tu sais ce qu’on dit, une de perdue, dix de retrouvées : on les attend. Et on ne bougera pas avant de les avoir vues.
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Ce type de relation sérieuse ne me convient plus. On pourrait continuer à se voir de temps en temps…sans prise de tête : oui bon, un plan-fesse quoi. Un peu comme la traditionnelle culotte de grand-mère. Celle qu’on enfile quand on a rien d’autre dans son tiroir à culotte. Autant être clair.
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Je n’aimerai jamais personne autant que toi : et c’est pour ça qu’on se fait larguer. Logique implacable.
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Te quitter, c’est la meilleure chose que je puisse faire pour toi : tant de sacrifices donnerait presque la larme à l’oeil.
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On devrait faire un break…rencontrer des gens chacun de son côté : moyen détourné pour dire » tu m’ennuies sexuellement, en plus j’ai un(e) nouveau(lle) collègue qui est loin d’être un thon ».
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Nous deux, ça le fait plus : expéditif, simple, efficace. Pas la peine de développer, ni d’argumenter.
Et vous, à quelle genre de phrases avez-vous déjà eu le droit ?
Source : Webnews via Seneweb le 30/05/2011
