La Libre – C’est une affaire qui fait grand bruit en Espagne et pour cause, une entreprise de livraison a licencié une de ses travailleuses qui était chaque jour à avance sur son lieu de travail et qui pointait donc aussi à l’avance.
Selon le contrat, l’heure d’arrivée était clairement notée pour le début du service, surtout que la jeune femme ne pouvait pas effectuer son travail sans ses collègues. Son employeur lui a donc notifié à plusieurs reprises, oralement mais aussi par écrit de ne plus arriver constamment à l’avance, à des heures « où il n’y a rien à faire ».
L’Espagnole a donc été licenciée n’ayant pas écouté les nombreux avertissements. Elle a décidé de contester la décision de l’entreprise en justice, étant donné qu’elle n’avait pas reçu d’indemnité, mais le tribunal a finalement donné raison à l’employeur stipulant qu’aucun autre employé n’arrivait à l’avance et qu’elle n’avait pas de justificatif pour arriver si tôt.
Il faut dire que selon son supérieur, elle ne savait pas effectuer son travail proprement avant le début officiel du service et était donc un frein pour l’entreprise. Le juge a donc déclaré qu’il s’agissait d’une infraction grave et qu’elle a violé la relation avec son employeur selon HLN.
D’autres circonstances aggravantes, comme le fait qu’elle pointait son heure d’arrivée alors qu’elle était encore dans sa voiture ou qu’elle ait vendu une propriété de l’entreprise sans aucune autorisation n’ont pas aidé son cas.
Source : La Libre (Belgique)
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