Afrique.le360.ma – Les commandes s’accumulent chez les couturiers à quelques jours de la fête musulmane de l’Aïd al-Adha. Une situation qui provoque une surcharge de travail et la contrainte de nuits blanches pour ces travailleurs.
L’Aïd al-Adha est une occasion pour les tailleurs ouest-africains de réaliser de bons chiffres d’affaires. Pour tirer pleinement profit de la période, les tailleurs augmentent leurs tarifs et accumulent les commandes auprès des clients. Ils n’hésitent pas à s’enfermer dans leurs ateliers et enchaîner les nuits blanches pour satisfaire la clientèle.
C’est le cas notamment chez «Ferallah Couture», un atelier situé dans la commune de Sebkha, populeuse banlieue sud-ouest de Nouakchott. Mamadou Diallo, employé de l’atelier, note avec satisfaction une affluence des clients qui obligent les tailleurs à travailler toutes les nuits depuis une semaine. Il note des commandes en hausse par rapport à la Tabaski précédente et évoque également les prix, fixés suivant les modèles commandés par le client.
Ibrahim Diallo, tailleur également chez «Ferellah Couture», parle du nombre des employés, une quinzaine, issus de différentes nationalités et salue les conditions dans lesquelles se déroule le travail à quelques jours de la fête.
Notre correspondant à Nouakchott Amadou Seck
Source : Afrique.le360.ma
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