Le Calame – La septième édition du concours d’éloquence de la jeunesse mauritanienne sur les droits de l’homme, réservée aux élèves de l’enseignement secondaire, a été organisée mercredi 16 octobre, à l’Institut Français de Mauritanie (IFM), en présence de nombreux responsables du Ministère de l’Education Nationale et de la Réforme du Système Educatif, de Mme Fiona Schnell, Directrice Générale de l’Institut International pour les Droits de l’Homme et la Paix (IIDHP) et d’une importante assistance.
Les concurrents de l’édition 2024 ont abordé plusieurs thèmes : la santé en Mauritanie, un droit bafoué, une justice à rétablir. Les droits des femmes en Mauritanie, protégeons les enfants. Les mariages précoces, les droits, elles n’y ont pas droit. Les espoirs de demain en danger, Palestine, droits de l’homme perdus. De l’ombre à la
lumière : mariages précoces, vies ruinées. L’affaire Palestine et les féminoïdes au Mexique.
Le premier prix a été remporté par Mariam Tandia, pour sa brillante plaidoirie axée sur le thème « de l’ombre à la lumière : mariages précoces, vies ruinées ». La jeune élève s’est brillamment exprimée comme « la voix des sans voix » celle des personnes réduites au silence, ces âmes opprimées, qui aspirent à être entendues.
Des filles victimes de mariages précoces, au mépris des lois, qui souffrent en silence et aspirent à un monde dans lequel chaque fille aurait la liberté de poursuivre son rêve ».
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