La présence de la première Dame au lancement de la campagne du plaidoyer du parti INSAF de l’Autonomisation politique de la Femme Mauritanienne, cette semaine à Nouakchott, est considérée par les observateurs comme une seconde main à la pré-campagne du parti.
C’est un coup de pouce politique pour inciter les femmes à accomplir leur devoir de citoyenne en même temps une implication directe aux activités du parti INSAF. Jamais une première dame mauritanienne ne s’est investie dans la gouvernance du président depuis 1978. Ses nombreuses initiatives dans la protection de l’enfance et de la famille, de l’entreprenariat féminin ne sont plus à démontrer.
Cette entrée visible cette semaine sur le terrain politique avec le lancement de la campagne du plaidoyer du parti INSAF de l’Autonomisation politique de la Femme Mauritanienne donne un coup de main à la pré-campagne du parti INSAF. Mariem Mint Mohamed Fadel Ould Dah est bien consciente que la femme mauritanienne est encore mal représentée dans les instances dirigeantes des partis et dans les hautes fonctions de l’Etat et des entreprises privées. Une présence notoire qui revêt une signification dans l’autonomisation politique de la femme.
Cherif Kane
Coordinateur journaliste
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