PSG : le chef de la diplomatie américaine remercie Macron d’avoir «gardé Mbappé à Paris»

Le secrétaire d’État américain a vécu plusieurs années en France, où il s’est pris de passion pour le football.

Le Parisen  – Un petit clin d’oeil au football en pleine réception officielle. Le très francophile chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, s’est déclaré être un fan du PSG, en recevant jeudi le président Emmanuel Macron, allant même jusqu’à le remercier d’avoir su « garder » Kylian Mbappé à Paris.

Dans le somptueux décor du département d’Etat, coeur névralgique de la diplomatie américaine, Antony Blinken et la vice-présidente des Etats-Unis, Kamala Harris, ont multiplié devant le président Macron les références aux personnalités marquantes de l’histoire des relations franco-américaines, du Marquis de Lafayette à Benjamin Franklin, ou encore à « la baguette » désignée mercredi par l’Unesco patrimoine mondial de l’humanité.

Mais la proximité avec la France était aussi très personnelle pour le secrétaire d’Etat américain, qui a passé plusieurs années de sa jeunesse en France et parle couramment la langue. « La France m’a accueilli, m’a éduqué, m’a inspiré », a-t-il affirmé, en soulignant que « ces années lui avaient donné un amour de toute une vie, l’amour du soccer, ou du football pour être correct, et du PSG ».

« Je suis ravi que Kylian Mbappé puisse opérer sa magie avec les Bleus »

« Donc, tout en ne pouvant pas être plus fier de soutenir les Etats-Unis à la Coupe du monde, je suis ravi que Kylian Mbappé puisse opérer sa magie avec les Bleus et, Monsieur le Président, merci de l’avoir gardé à Paris », a-t-il dit sous les rires de la salle.

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Une allusion au rôle joué par le chef d’Etat dans la prolongation de Mbappé au PSG. Les deux hommes ont échangé à plusieurs reprises sur ce sujet. « Emmanuel Macron m’a dit : Je veux que tu restes. Je ne veux pas que tu partes maintenant. Tu es tellement important pour le pays », avait raconté l’attaquant en septembre dans un entretien au New York Times.

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Source : Le Parisen

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