
Afrique.le360.ma – Ambiance au principal foirail de Nouakchott, situé dans la populeuse commune d’El Mina (banlieue Sud), à quelques 48 heures de la fête de l’Eid El Fitr, marquant la fin du mois de Ramadan.
Les moutons sont chers et de moindre qualité par rapport aux années précédentes, alors que ce n’est pas encore la ruée de la part des clients.
Selon Abdallah Yeslim, vendeur de moutons, «pour un mouton acceptable, il faut sortir 7000 MRU, 6500 MRU, jusqu’à 6000 MRU. Il y a des catégories intermédiaires à 5000 MRU».
Jibril ould Brezik, vendeur de bétail, «les catégories de moutons à 4000 MRU, 3000 MRU, sont d’une qualité très moindre. Ce niveau élevé des prix est justifié par le manque de pâturage et le coût de exorbitant de l’aliment de bétail, dont le kilogramme nous est vendu à 20 MRU».
Notre correspondant à Nouakchott Amadou Seck
Source : Afrique.le360.ma
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