De nombreux visiteurs de l’hôpital national sont unanimes que le médecin personnel du président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, qui a été nommé directeur de l’hôpital national l’a transformé cet établissement public en « caserne militaire ».
Les citoyens doivent attendre longtemps aux portes la permission d’entrer. Leur mobilité entre les services est devenue plus difficile, quelle que soit l’état de santé des patients. Ils sont obligés d’entrer par certaines portes spécifiées, rien que par elles et pas d’autres .
L’influence de la police à la porte de l’hôpital a décliné et la confiance est revenue pour renforcer les gardiens civiles, avec qui il est difficile de communiquer en raison du facteur linguistique et dont l’influence est devenue plus importante qu’avant à cause du nouveau système de fonctionnement de cet établissement de santé.
Dans lequel rien pourtant de nouveau n’est apparu pour améliorer ses performances, mis à part le poing de fer auquel le nouveau directeur l’a soumis.
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