Des sources médicales, non concordantes ont affirmé le décès d’une femme mariée, évacuée après avoir échoué de se libérer de son soupirant, auquel elle est demeurée collée, suite à ce qui semble être une affaire d’adultère commise au cours d’une excursion organisée loin de Nouakchott, dans les environs de Tiguent .
La femme serait arrivée depuis quelques jours dans cet état curieux dans un hôpital de la ville Nouakchott dont les spécialistes sont restés impuissants dans leurs tentatives de séparer les deux adultérins.
L’évacuation à Nouakchott des deux infidèles aurait été entourée de la plus grande discrétion. Toutefois, les nombreux efforts déployés par les médecins pour libérer l’homme piégé sont demeurés sans succès, après 48h de prise en charge de ce cas.
Les infos restent encore imprécises sur la mort de l'homme contrairement à la femme qui serait décédée quelques minutes avant l’arrivée de son époux de Nouadhibou et sa demande d’annuler l’acte fétiche qui serait à l’origine de cet incident rare.
Selon la toile, des cas pareils surviennent parfois mais son très rare. A titre d’exemple, un mari qui soupçonnait sa femme de lui être infidèle, aurait fait certaines cérémonies mystiques de sorte qu'après son acte d’adultère, son soupirant se retrouve coincé en elle. Sur le plan scientifique, la seule explication pourrait être un spasme du muscle releveur de l’anus, en forme de double huit, entre l'urètre, le vagin et l'anus. Si on touche une de ces trois zones, ça relâche le reste, ainsi si on touche par exemple autour de l'anus, cela relâche le muscle. Donc si par hasard, l'homme se retrouve coincé, il y a toujours une solution ».explique le Dr Neidhart, professeur d’anatomie à l’Université de médecine de Lyon 1.
« Un des faisceaux de ce muscle part du pubis, passe sur les côtés du vagin et fait le tour du rectum. S’il y a un spasme, comme une crampe, cela peut avoir pour effet d’écraser le vagin le contre le pubis et d’emprisonner la verge ».
« Le penis captivus résulterait donc d’une contraction musculaire involontaire, ce mécanisme est assez proche de celui du « vaginisme » causé par une contraction réflexe des muscles entourant le vagin », explique le Dr Sylvain Mimoun, gynéco-andrologue et spécialiste de la sexualité. Mais si, dans le cas du « vaginisme », la contraction a lieu avant la pénétration, rendant celle-ci impossible, dans le cas du « syndrome du pénis captif », elle intervient juste après.
Source : Le Véridique
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