Afrik.com présente ses excuses à Ahmed Ould Abdel Aziz

Après le député Noel Mamère qui présentait ses excuses au président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, c'est au tour du site Afrik.com de se fendre d'un communiqué dans lequel le site déclare, avec "vérifications factuelles", avoir noté que " en particulier que M. Ahmedou Ould Abdel Aziz, contrairement aux informations qui nous avaient été transmises de manière erronée, n’est nullement impliqué dans la vie politique ou économique de son pays".

Le site avait publié en février 2013 une serie d'articles sous le titre "Pillage organisé en Mauritanie" avant de les retirer suite à une procédure judiciaire.

Ce sont donc deux grosses épines en moins dans le pied du président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz, président en exercice de l'Union Africaine.

Voici l'intégralmité du communiqué du site Afrique.com sous la plume de son Directeur Général Olivier ZEGNA RATA.

 

Nos excuses à Ahmedou Ould Abdel Aziz

Dans le cadre d’une série d’articles consacrés à la Mauritanie et publiés les 26 et 27 février 2013 par votre Quotidien en ligne AFRIK.COM, nous avons procédé à un ensemble de vérifications factuelles. Nous notons en particulier que M. Ahmedou Ould Abdel Aziz, contrairement aux informations qui nous avaient été transmises de manière erronée, n’est nullement impliqué dans la vie politique ou économique de son pays.
 

M. AHMEDOU OULD ABDEL AZIZ n’a jamais été engagé dans des activités économiques ou financières liées à la Mauritanie et c’est de manière totalement impropre qu’il avait été fait mention de lui dans nos colonnes.

Nous présentons donc à M. AHMEDOU OULD ABDEL AZIZ toutes nos sincères excuses pour ces accusations infondées et l’exploitation qui a pu en être faite. Nous les présentons également à nos lecteurs.

Au nom d’AFRIK.COM, Olivier ZEGNA RATA, Président.

 

Le journalisme est une mission difficile, qui réclame une appréciation exacte de toutes les sources, une évaluation de leur crédibilité ou de leur honnêteté. La rédaction d’AFRIK.COM tient à honneur de corriger les erreurs qu’elle peut commettre, malgré ses efforts de rigueur et de recoupements, en toute bonne foi. Ainsi que l’indique l’adage médiéval, "Errare humanum est, perseverare diabolicum", c’est s’entêter dans l’erreur qui est mauvais, lorsqu’on en prend conscience. OZR

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