Durant trois jours, le festival « paroles d'écrits » organisé par l'Institut français de Mauritanie a permis au public d'échanger avec une dizaine de poètes mauritaniens aux œuvres engagées, qu'ils écrivent en arabe, pulaar ou français.
Parmi eux, une femme à la voix singulière, Mariem Mint Derwich, née de père mauritanien et de mère française. Ses poèmes rageurs, douloureux, qui évoquent l'intimité des femmes et leurs relations avec les hommes, suscitent la controverse.
Source : http://www.rfi.fr/
