L’agence visas voyage a accueillie la cérémonie de retrouvailles entre la Royale Air Maroc (RAM) et ses partenaires. Cette cérémonie s’est déroulée le lundi 21 mars dans les bureaux de visas voyage en présence du directeur régional de la RAM à Nouakchott, Monsieur Iraki, de la directrice de visas voyage et de son staff. But de la cérémonie : développer une nouvelle dynamique d’approche relationnelle pour des meilleures affaires entre les différents collaborateurs. Nous avons rencontré la directrice de visas voyage. Entretien
Que pensez vous de la nouvelle politique de la RAM, qui consiste à se rapprocher de ses partenaires en les conviant aux déjeuners débat dans leurs agences?
Aisha Mohamed Salem : Je tiens tout d’abord à remercier Monsieur le représentant de la Royale Air Maroc, et tout son personnel, au nom de notre aimable clientèle ainsi qu’au nom du personnel de l’agence VISA, et en mon nom personnel pour cette façon de rapprocher les clients, l’agence de voyage, et la compagnie aérienne. Cette nouvelle stratégie de communication permet de réunir les voyageurs et la RAM pour poser les problèmes du voyage, et trouver des solutions, le tout dans un cadre convivial, et une ambiance chaleureuse.
Notre clientèle est ravie par ce geste « royal » qui prouve le respect et la considération que leur accorde la RAM. Nous, nous en sommes honorés.
Ces déjeuners débats ont-ils permis de lever certains obstacles concernant vos relations ?
Aisha Mohamed Salem : Les relations entre l’agence VISA et la RAM sont très bonnes. L’arrivée du nouveau représentant Monsieur Eliraki nous a permis de développer tous les volets de cette relation , et de débattre franchement des obstacles qui peuvent gêner notre coopération. Aujourd’hui, pour ne parler que de la clientèle, je dirais que la RAM a facilité le travail de fidélisation de notre clientèle sur ses lignes, grâce à une prise en compte des demandes de cette clientèle, ainsi qu’une amélioration des produits qu’elle propose.
Et puis il y a la relation de confiance qui se développe entre le personnel de l’agence et le personnel de la compagnie aérienne. Il y a quelques années, c’était la concurrence directe entre la compagnie aérienne et les agents de voyage, surtout par des périodes de crise du voyage; c’était donc inimaginable.
Depuis ces dernières années le pourcentage des clients de la RAM, qui passe par votre agence, a-t-il progressé ?
Aisha Mohamed Salem : Bien évidemment. Il faut dire que la RAM a réalisé ces dernières années un travail déterminant pour attirer la clientèle et motiver les agences de voyage: changement d’horaire de ses vols, multiplication des rotations, promotions tarifaires sur les vols « long courriers », c’est à dire les destinations desservies, au delà de l’aéroport de Casablanca, qui du coup devient un véritable hub Maghrebin et West Africain…. pour ne citer que cela.
C’est dire qu’à un moment le produit se vend de lui même; pour nous c’est une véritable aubaine.
La gestion des agences de voyages demande beaucoup de technicité, votre personnel suit-il des formations ?
Aisha Mohamed Salem : Oui, tous les six mois. Vous savez l’agence de voyage est devenue aujourd’hui un bureau de consultation et de conseil de voyage. L’évolution du transport aérien exige aujourd’hui une grande technicité et un professionnalisme sans reproche.
Ce bureau de voyage se doit de faire intervenir un maximum de partenaires stratégiques et techniques pour s’acquitter de sa tâche et pour garder un niveau de rentabilité économique indispensable à sa gestion.
Bien évidemment, en Mauritanie, cela reste encore à l’état embryonnaire, mais c’est une évolution inévitable.
Alors, vous imaginez le bonheur de travailler avec une compagnie aérienne, qui vous donne tous les outils pour vendre un bon produit, et en plus vous assiste et vous honore auprès de votre clientèle.
Un de nos clients m’a dit: « Vous savez, j’étais déjà satisfait de la qualité de services de VISA, et ce déjeuner me réconforte dans mon choix de voyager avec votre agence de voyage ».
Propos recueillis par ASD Le Quotidien de Nouakchott
