Participation de l’UPR à la rencontre internationale de la jeunesse sur la crise Ivoirienne post électorale

La Commission nationale de la jeunesse de l’UPR a participé aux travaux de la rencontre internationale de la jeunesse sur la crise Ivoirienne post électorale.

 

La manifestation qui s’est déroulée les 24 et 25 janvier 2011, à l’hôtel Ngor Diarama de Dakar est organisée par le Conseil Nationale de la Jeunesse du Sénégal (CNJS), sous l’égide de l’Union panafricaine de la Jeunesse.

La Commission nationale de la Jeunesse de l’UPR était représentée à cette rencontre par son secrétaire général monsieur Mohamed Vall Ould Youssef qui a prononcé un discours lors de la cérémonie d’ouverture. Dans son discours, il a évoqué l’expérience démocratique mauritanienne qui, a-t-il dit est la preuve de la maturité et la responsabilité des peuples africains lorsqu’il est offert l’opportunité d’exprimer librement leur choix sur celui qui les dirigera. Il a dans ce cadre présenté une note sur l’expérience de la démocratie mauritanienne qui a reçu l’approbation du Groupe de contact international, les observateurs internationaux qui ont supervisé les élections présidentielles du 18 juillet 2009 comme les représentants des Nations Unies, l’Union Européenne, la Ligue arabe, l’Union Africaine, l’Union du Maghreb Arabe, l’OCI et d’autres organisations sus régionales, continentales et internationales.

Monsieur Ould Youssef a par ailleurs déclaré que l’UPR est l’un des premiers partis politiques à avoir invité les partenaires ivoiriens à observer les règles démocratiques en respectant le choix souverain du peuple exprimé par voie des urnes, loin des aléas de la guerre civile et du chaos qui risquent d’hypothéquer l’avenir du peuple frère ivoirien et sa volonté de vivre dans l’ère de la démocratie, de la liberté et de la dignité.

Il a aussi précisé que l’appel lancé par son parti en octobre dernier avant la tenue des élections, aux acteurs politiques ivoiriens est la meilleure preuve du souhait de la République islamique de Mauritanie de voir ce pays frère vivre dans la paix et la stabilité, cet Etat qui constitue un deuxième pays pour les milliers de mauritaniens qui y ont vécu depuis des décennies en harmonie et entente avec le peuple et les autorité qui se sont succédé à la tête de ce pays ami.

Source  :  Le Véridique le 29/01/2011

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