Dans un communiqué publié par l’Union Pour la République (parti au pouvoir),…
ce dernier a indiqué que « même si l’opposition appelle, aujourd’hui au dialogue, elle a toujours constitué et continue encore un obstacle devant l’amorce de ce dialogue politique constructif».
En outre, le parti au pouvoir, se dit prêt pour le dialogue, tout en estimant que la balle est dans le camp de l’opposition qui dit se prononcer sur ce qu’elle appelle « les questions déterminantes ».
L’UPR a également accusé l’opposition de vouloir désespérément, donner un tableau sombre du pays, en décrivant une image qui n’existe que dans sa propre imagination, avant de préciser que son communiqué « n’intervient pas en réponse aux allégations de l’opposition, mais dans le but d’éclairer l’opinion publique à propos de certaines vérités».
Il a par ailleurs rappelé que « le pays, dont le leadership est convoité par tous les partis politique doit demeurer au dessus de toutes les considérations et sa souveraineté doit être protégée par tous ». Et le communiqué d’ajuter qu’en aucun cas le discours politique ne doit être dévalué au point de toucher aux racines de l’unité nationale ou d’en constituer une menace et qu’il est hors question de jouer avec les principes sacrosaints sur lesquels est érigée la république.
Par rapport à la question de la langue arabe et des langues nationales soulevée récemment sur la scène nationale, le parti au pouvoir a considéré qu’il convient de revenir à la constitution, qui demeure claire à ce propos, selon le communiqué.
Source : Agence Nouakchott Info via www.ani.mr le 10/04/2010
