dans la capitale économique du pays. Il s’agit, pour la plupart, note une source policière, d’Ivoiriennes, de Gambie, du Burkina Faso et du Sénégal.
Signalons que depuis longtemps des voix s’élèvent au sein d’imams de mosquées et de prêcheurs (douat) pour dénoncer la propagation de maisons closes à Nouadhibou.
Source : Sahara Media le 24/02/2011