Mauritanie – «Frères et sœurs, levons-nous. Ne baissons plus la tête. Ne laissons pas la peur nous voler l’avenir»

Frères et sœurs, L’histoire nous a appris une vérité simple : là où l’injustice devient loi, la résistance devient devoir. Nous ne sommes pas ici pour quémander des droits, mais pour les faire respecter. Martin Luther King disait : « Nos vies commencent à finir le jour où nous devenons silencieux sur les choses qui comptent. » Eh bien, nous refusons le silence. Nous refusons l’humiliation. Nous refusons la confiscation de notre dignité.

En Mauritanie, le système n’écoute pas. Il manigance. Il bloque. Il exclut. À chaque fois que nous parlons, il se bouche les oreilles. À chaque fois que nous réclamons la justice, il nous ferme les portes. Mais jusqu’à quand ? Jusqu’à quand devrons-nous subir ? Jusqu’à quand allons-nous accepter que notre peuple soit piétiné par une poignée de privilégiés ? Gandhi disait : « La non-violence est l’arme des forts. » Alors oui, nous sommes forts. Notre arme, c’est la vérité. Notre force, c’est l’unité. Notre terrain de lutte, c’est la rue. La rue n’est pas un désordre.

La rue, c’est le dernier refuge de la démocratie. C’est là où la vérité éclate au grand jour. C’est là où le peuple reprend sa voix. C’est là où le pouvoir découvre que nous existons, que nous résistons, et que nous ne céderons pas. Mandela disait : « Un homme qui prive un autre de sa liberté est prisonnier de la haine. » Aujourd’hui, ce système est prisonnier de sa haine et de sa peur. Mais nous, nous sommes libres, parce que nous osons dire non. Alors, frères et sœurs, levons-nous. Ne baissons plus la tête. Ne laissons pas la peur nous voler l’avenir. Occupons la rue, pacifiquement mais fermement.

Faisons entendre une seule voix : la Mauritanie appartient à tous ses enfants, et aucun pouvoir ne pourra nous en priver Frères et sœurs. L’histoire nous a appris une vérité simple : là où l’injustice devient loi, la résistance devient devoir. Nous ne sommes pas ici pour quémander des droits, mais pour les faire respecter. Martin Luther King disait : « Nos vies commencent à finir le jour où nous devenons silencieux sur les choses qui comptent. » Eh bien, nous refusons le silence. Nous refusons l’humiliation. Nous refusons la confiscation de notre dignité. En Mauritanie, le système n’écoute pas. Il manigance. Il bloque. Il exclut.

À chaque fois que nous parlons, il se bouche les oreilles. À chaque fois que nous réclamons la justice, il nous ferme les portes. Mais jusqu’à quand ? Jusqu’à quand devrons-nous subir ? Jusqu’à quand allons-nous accepter que notre peuple soit piétiné par une poignée de privilégiés ? Gandhi disait : « La non-violence est l’arme des forts. » Alors oui, nous sommes forts. Notre arme, c’est la vérité. Notre force, c’est l’unité. Notre terrain de lutte, c’est la rue. La rue n’est pas un désordre. La rue, c’est le dernier refuge de la démocratie. C’est là où la vérité éclate au grand jour. C’est là où le peuple reprend sa voix. C’est là où le pouvoir découvre que nous existons, que nous résistons, et que nous ne céderons pas. Mandela disait : « Un homme qui prive un autre de sa liberté est prisonnier de la haine. »

Aujourd’hui, ce système est prisonnier de sa haine et de sa peur. Mais nous, nous sommes libres, parce que nous osons dire non. Alors, frères et sœurs, levons-nous. Ne baissons plus la tête. Ne laissons pas la peur nous voler l’avenir. Occupons la rue, pacifiquement mais fermement. Faisons entendre une seule voix : la Mauritanie appartient à tous ses enfants, et aucun pouvoir ne pourra nous en priver. Wetov.

 

 

SY Mamadou

 

 

 

(Reçu à Kassataya.com le 25 août 2025)

 

 

 

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