
Nous allons partager avec vous le minimum requis pour vous exprimer sur les différentes intelligences artificielles payantes ou gratuites.
1) Il est important de comprendre les algorithmes, leurs imbrications, leurs boucles et leurs exceptions.
2) Il faut comprendre comment fonctionnent et communiquent les différentes briques d’un système d’information.
3) Il faut comprendre la notion de régression en fonction des évolutions et de la mise à jour des différentes versions.
4) Il faut être apte à analyser les différents résultats et contradictions d’une même requête vers une base de données. Autrement dit, connaitre la logique informatique et les langages.
5) Il faut surtout être très bon dans le fonctionnement des LLM (Large language Model).
Les personnes qui ne possèdent pas ce minimum vital doivent s’abstenir de parler des intelligences artificielles, de leurs anomalies, de leur impact et surtout des erreurs d’interprétation venant de ces outils dont la logique est artificielle. Certaines de nos collègues en informatique sont souvent dépassées par des problèmes, des imperfections, mais également des performances de ces outils. Ces outils sont certes extrêmement puissants, il faut être outillé analytiquement et technologiquement pour être apte à faire des conclusions fondées sur la logique informatique et non sur des impressions pessimistes.
L’honnêteté, c’est aussi de ne pas être pessimiste quant aux productions intellectuelles d’autrui en raison de l’existence d’outils d’IA. Aujourd’hui, tout ce qui est produit par les étudiants, les professionnels et dans d’autres domaines est systématiquement attribué aux IA. Le paradoxe est que certaines intelligences artificielles sont incapables de vous fournir leurs sources.
Nous recommandons aux non-informaticiens, aux journalistes, etc., de poursuivre leurs lectures poétiques ou leurs fables non productrices de valeur au lieu d’exploiter et d’expliquer ce qu’ils ne maitrisent pas. Sinon, ils peuvent retourner pour étudier le minimum requis pour comprendre le fonctionnement des outils SaaS (Software as a Service).
Nous sommes ouverts à toutes les contributions analytiques et technologiques qui soutiennent ou contredisent cette réflexion. Nous nous exprimons sous le contrôle de développeurs logiciels, de mathématiciens, entre autres scientifiques qui suivent dans l’ombre nos écrits.
@Yoo Alla Faabo !
Abdel Khadir GUISSE
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