Turkia Daddah a reçu Carrefour du Maghreb chez elle, à Nouakchott, dans sa maison comme un musée, remplie des souvenirs d’une vie passée entre l’Algérie, la Mauritanie, mais aussi Paris, Washington ou Bruxelles. Nationaliste algérienne, femme d’ambassadeur, haut fonctionnaire reconnue par ses pairs, tout commence par une immense douleur : la mort de son père, tué par les Français lorsqu’elle était enfant. Une émission enregistrée et réalisée à Nouakchott par Françoise Greleau et Juliette Rengeval.
Source : RFI
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