Néanmoins, outre-Atlantique, Rolling Stone est un peu moins convaincu par ce nouveau volet, “dont une bonne partie a des airs de redite des cinq premiers épisodes, en beaucoup moins captivant”.

Mais plus que le plaisir de voir des casses savamment orchestrés, le consensus des critiques tient à ce qu’Omar Sy est plus que jamais le clou du spectacle. Son charisme permet de fermer les yeux sur toute invraisemblance, tout comme Assane Diop parvient à duper ses cibles par son panache. “Pas évident en seulement sept épisodes de développer une intrigue psychologique intense où un homme noir se retrouve aux prises avec un traumatisme intergénérationnel qui menace d’engloutir la vie de son propre fils”, salue le Guardian. “Mais les budgets de Netflix ont également été revus à la hausse pour offrir au génial Omar Sy des scènes d’action époustouflantes. Ce qui pose la question : le prochain James Bond sera-t-il noir et français ?”