Des parents prêts à modifier les gènes de leur bébé pour qu’il puisse intégrer une bonne université

France Inter – Des parents sont prêts à modifier les gènes de leur bébé pour qu’il puisse plus tard intégrer une bonne université. 28% des Américains seraient prêts à modifier génétiquement leur futur bébé pour qu’il ait plus de chance d’entrer par exemple à Harvard.

Et dans le cadre d’une FIV, 38% n’hésiteraient pas à tester leurs embryons pour sélectionner ceux dont les chances d’être acceptés dans une bonne université. Cette enquête publiée dans Science, a été menée par des chercheurs en bioéthique, pour alerter sur le sujet. Ces pratiques risquent de se démocratiser très vite. Et il est urgent pour eux, de les réglementer.

En France, ces tests sont pour le moment interdits

Et aux Etats Unis, pour le moment, aucun embryon n’est né suite à une sélection pour ses futures aptitudes scolaires. Mais certaines entreprises de la biotech proposent des tests qui permettent de sélectionner des embryons pour éviter d’avoir certaines maladies par exemple.

Des scientifiques ont mis au point une pile comestible

Cette pile a été mise au point à l’institut italien de technologie. Elle est capable de se dissoudre dans l’estomac une fois sa mission terminée. Ses composants : une vitamine, des algues et du charbon actif. La première version mesure un centimètre carré, mais elle devrait être bientôt encore plus petite.

A quoi ça sert ?

Le prototype fournit un mini courant pendant douze minutes. Ce qui permet d’ alimenter des micro-appareils électroniques. Ces batteries, pourraient aussi être utilisées dans les jouets pour enfants qui ils pourraient les avaler sans danger. Même si ces piles alimentaires ne peuvent pas encore faire fonctionner des voitures électriques, elles montrent qu’il est possible d’utiliser des matériaux plus sûrs pour inventer de nouvelles batteries

Non, le cannabis ne rend pas plus créatif

Il en donne seulement l’impression. Une étude réalisée par des chercheurs de l’université de Washington vient d’être publiée sur le sujet. Les scientifiques ont comparé la créativité de personnes venant tout juste de consommer du cannabis avec celle de participants qui n’en avaient pas pris dans les douze heures précédant l’expérience.

On a demandé aux cobayes de trouver le plus d’utilisations innovantes possibles à … une brique. Ils avaient 4 mns pour répondre. Les personnes sous influence de cannabis se sentaient plus enjouées, – on peut l’imaginer-, ce qui leur a donné l’impression que leurs idées étaient plus créatives que celles des participants sobres.

Mais les chercheurs n’ont remarqué aucune différence entre les consommateurs de cannabis et les autres.

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Source : France Inter (Le 30 avril 2023)

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