Paris Match – Connue pour ses tubes planétaires dont «Djadja» et «Jolie nana», Aya Nakamura doit être jugée ce jeudi à Bobigny, en région parisienne, aux côtés du producteur Vladimir Boudnikoff pour violences réciproques sur conjoint, commises lors d’une soirée houleuse en août. Parmi la trentaine de dossiers programmés pour cette audience, celui de la chanteuse franco-malienne et de son partenaire à l’époque des faits, Vladimir Boudnikoff, suscite une attention médiatique toute particulière.
Les deux artistes, parents de deux petites filles et désormais séparés, doivent répondre de «violences par conjoint avec ITT (Interruption temporaire de travail, Ndlr) de moins de huit jours» pour des faits survenus l’été dernier au domicile du producteur à Rosny-sous-Bois, en banlieue parisienne. «On n’est pas dans un contexte de violences lourdes», nuance toutefois une source proche du dossier.
« La femme que j’aime et moi-même allons très bien »
Dans la nuit du samedi 6 au dimanche 7 août, la police locale intervient une première fois vers 01H45 (heure de Paris) sur fond de tensions, retrace cette source. Ils trouvent la chanteuse de 27 ans à l’extérieur du pavillon, tandis que le producteur de 37 ans se trouve à l’intérieur. Mais à ce stade, «il n’y a pas de notion de violences», précise-t-elle, indiquant que la police quitte ensuite les lieux.
Source : Paris Match
Diffusion partielle ou totale interdite sans la mention : Source www.kassataya.com
-
-
-
-
