RFI – Avec moins de 8 % de réussite au baccalauréat en 2021, 872 classes manquantes, auxquels s’ajoutent un déficit d’enseignants et de livres scolaires, les enjeux sont en effet de taille. Depuis 2019, certains chantiers ont déjà été entrepris comme l’ouverture d’une concertation nationale, la création de zones d’éducation prioritaire, la formation et la revalorisation des salaires des professeurs ou encore la mise en place de cantines scolaires.
Beaucoup reste encore à faire pour poser les nouvelles bases de l’école républicaine mauritanienne. Un point essentiel reste notamment la place accordée aux langues nationales (pulaar, soninké et wolof) que la dernière réforme de 1999 avait tenté de revaloriser sans succès. Dans ce contexte fragile, comment améliorer le système éducatif mauritanien et en faire une clé de réussite pour tous les élèves et le développement du pays ?
Emission enregistrée à Nouakchott, en public, au centre culturel de la région de Nouakchott
Avec :
Ahmed Ba, conseiller du Ministre de l’éducation mauritanien, chargé de la coopération
Bouna Sow, directeur de l’école privée Noura, au sud de Nouakchott.
Amadou Tidjane Ba, Secrétaire général du Syndicat National de l’Enseignement Secondaire (SNES)
Khoudia, chanteuse mauritanienne, ambassadrice de bonne volonté de l’UNICEF
Source : RFI
Diffusion partielle ou totale interdite sans la mention : Source www.kassataya.com
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