Live en cours – « Un jour, vous allez vous réveiller et comprendre ce que nous avons compris : la guerre est déjà là », dit Volodymyr Zelensky

Le MondeLe président ukrainien a accordé un entretien exclusif à l’Union des médias publics européens, dont France Télévisions. Moscou amplifie ses opérations aériennes et navales, selon le Pentagone.

 

 

21:25

La Russie bloque le site de la chaîne française Euronews

Le régulateur russe des médias a bloqué lundi l’accès au site de la chaîne française Euronews, nouveau média interdit en Russie sur fond de contrôle accru sur les informations liées à l’offensive en Ukraine. Selon les agences de presse russes, le gendarme russe des télécoms Roskomnadzor a bloqué le site de la chaîne euronews.com et à sa version russe ru.euronews.com sur demande du Parquet. Le motif de ce blocage n’a pas été précisé.

21:11

L’Union européenne souhaite se donner des moyens d’intervention

 

L’Union européenne (UE) a approuvé lundi la constitution d’une force de 5 000 combattants et s’est engagée sur une augmentation de ses dépenses militaires afin d’être en mesure de mener seule des interventions d’ici à 2025. « L’Union européenne est en danger. L’agression de la Russie contre l’Ukraine n’est pas de la rhétorique et constitue un rappel à l’ordre », a souligné le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell.

 

Les ministres des affaires étrangères et les ministres de la défense de l’UE ont approuvé une « boussole stratégique » élaborée depuis deux ans et adaptée à la situation créée par la guerre en Ukraine. « Il s’agit d’un appel à l’action et ce document ne doit pas rester lettre morte », a insisté Josep Borrell. « L’Union européenne doit se monter déterminée, rapide dans sa réaction aux crises et elle doit investir dans des capacités de défense en complémentarité avec l’OTAN », a-t-il expliqué.

 

« L’UE est collectivement sous-équipée pour faire face aux menaces et aux défis » actuels, avertit le document adopté par les ministres. L’UE va utiliser les Groupements tactiques créés en 2007 pour constituer cette force de réaction de 5 000 militaires. « Les Groupements tactiques sont opérationnels, mais ils n’ont jamais été utilisés, faute de volonté politique et de moyens financiers », déplore le service d’actions extérieures de l’UE. La force sera constituée de « composantes terrestres, aériennes et maritimes » et dotée de capacités de transports afin d’être en mesure de « mener des interventions pour sauver et évacuer des ressortissants européens » pris dans un conflit. L’Allemagne souhaite constituer le cœur de cette force en 2025, a annoncé lundi sa ministre de la défense, Christine Lambrecht.

 

Les engagements militaires de l’UE seront discutés jeudi avec le président américain Joe Biden lors d’un sommet extraordinaire de l’OTAN, suivi par une réunion des chefs d’Etat et de gouvernement de l’UE consacrés aux conséquences de la guerre menée par la Russie en Ukraine pour la sécurité en Europe.

 

20:42 Vos questions

Bonjour, Ne pourriez-vous pas expliquer aux lecteurs vous repprochant souvent de « faire la sieste » ces derniers jours que le travail de journaliste ne se limite pas à reprendre sans filtre toutes les nouvelles évoquées ailleurs, qu’il existe un travail éditorial, que les critères de publications ne sont pas les mêmes d’un journal à l’autre… Bref, que la qualité d’un Live ne se juge pas à l’aune du nombre d’infos publiées par minute mais plutôt à la qualité de celles-ci? Vive le Live, et vive Le Monde!

Cyril

Bonjour Cyril,

Tout d’abord, merci pour votre message. En effet, le suivi en direct d’une situation est un exercice toujours très délicat pour nous journalistes, d’autant plus lorsqu’il s’agit d’événements comme celui-ci – c’est d’ailleurs la première fois que nous suivons une guerre en direct, et ce, sans discontinuer depuis quasiment un mois.

 

Depuis plus de dix ans, Le Monde couvre des événements en direct et nous avons toujours eu à cœur de placer la rigueur et la clarté des informations avant la rapidité et la réactivité. Pour le dire autrement : s’il faut choisir, nous préférerons toujours arriver un peu plus tardivement que nos confrères mais avec des informations fiables et certifiées – cela vaut d’ailleurs pour tout ce que nous publions. C’est le contrat de confiance que nous passons avec vous, chers lecteurs, et auquel nous sommes très attachés. Cela peut parfois générer de la frustration que nous pouvons tout à fait comprendre, mais sachez que si une information que vous avez lue ailleurs n’est pas publiée ici, c’est parce que nous n’avons pas été en mesure de la vérifier ou de comprendre toute sa portée. Pour en savoir plus sur le fonctionnement de notre suivi en direct, nous vous invitons à lire cet article : « Guerre en Ukraine : dans les coulisses du live du Monde ».

 

Vous êtes également quelques-uns à faire part dans vos contributions d’un certain agacement de ne pas voir votre question ou votre commentaire publié. Là aussi sachez que nous les lisons toutes et tous, et que si nous ne répondons pas, c’est pour les mêmes raisons que celles citées plus haut. Par ailleurs, les journalistes qui se relaient ici, 24 heures sur 24, pour vous informer en direct ne sont pas des spécialistes de la guerre, de l’Ukraine ou de la Russie – même si nous avons énormément appris depuis ces quatre dernières semaines. Or, certaines de vos questions sont extrêmement précises, voire pointues, et nous sommes sans doute aussi frustrés que vous de ne pouvoir y répondre dans l’immédiat ; mais nous les faisons remonter aux journalistes spécialisés ainsi qu’à nos journalistes sur le terrain et mettons régulièrement à jour cet article qui réunit beaucoup de vos interrogations les plus fréquentes.

20:38

Volodymyr Zelensky invité du JT de France 2

 

Le président ukrainien a accordé une interview exclusive à l’Union des médias publics européens (UER), dont France Télévisions, qui a diffusé une première partie de cette interview lors du « 20 Heures » de France 2, lundi 21 mars.

 

« Aujourd’hui, je me concentre essentiellement sur mon travail (…) et le choix de mes mots », a dit le chef de l’Etat. « Un jour, vous allez vous réveiller et comprendre ce que nous avons compris : la guerre est déjà là », a prévenu le président ukrainien, indiquant que sa « porte [était] ouverte » si des dirigeants occidentaux désiraient venir à Kiev.

 

« Tout le monde peut voir que c’est le peuple lui-même qui défend le pays. Cet élan collectif n’est pas le seul trésor que nous ayons, mais c’est le plus important aux côtés de notre armée », a dit Volodymyr Zelensky, par ailleurs. « C’est notre Dôme de fer, et c’est ça, notre véritable force pour nous défendre », a-t-il souligné.

 

L’intégralité de l’interview sera disponible sur le site de Franceinfo à partir de 20 h 50.

 

20:28

Un fixeur de Radio France enlevé et torturé pendant neuf jours par l’armée russe

 

Radio France, qui n’avait pas souhaité communiquer publiquement sur cette disparition pour des raisons de sécurité, a alerté Reporters sans frontières (RSF) de la disparition, le 8 mars, du fixeur (personne parlant la langue du pays qui assiste les journalistes sur le terrain). L’ONG a recueilli et vérifié le témoignage de cet interprète de 32 ans, « qui a été enlevé le 5 mars dans un village du centre de l’Ukraine, détenu pendant neuf jours, laissé dans un froid glacial dans une cave et torturé à plusieurs reprises ». Il a d’abord été retenu seul, puis a été rejoint par trois personnes, dont un ancien haut fonctionnaire ukrainien. Il fait également le récit de la fusillade de son véhicule, des séances de torture au couteau et à l’électricité, des coups de crosse de fusils-mitrailleurs sur le visage et sur le corps à plusieurs reprises, de simulacre d’exécution, de privation de nourriture pendant quarante-huit heures… Selon RSF, le fixeur serait maintenant à l’abri dans une ville ukrainienne.

 

20:11

Tout « compromis » avec la Russie sera soumis à référendum, annonce Volodymyr Zelensky

Tout « compromis » dans les négociations avec la Russie en vue de mettre un terme au conflit sera soumis à référendum en Ukraine, a déclaré lundi le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, dans un entretien avec un média public régional ukrainien. « Je l’ai expliqué à tous les groupes de négociation : lorsque vous parlez de tous ces changements [qui figureront dans un éventuel accord], et ils peuvent être historiques, (…) nous en viendrons à un référendum », a-t-il dit à Souspilne, un site Internet d’information.

20:08 Vos questions

Bonjour, comment pouvez vous être sûrs que vos informations sont véridiques, vu que vous n’avez pas de journalistes sur place et que seuls les médias pro Ukraine sont disponibles en occident ? Je ne remet pas en causes vos compétences de journalistes, je m’interroge réellement sur comment avoir une information fiable sur la crise, en évitant les désinformations ukrainienne, européenne, américaine et russe.

Arthur Dent

Bonjour Arthur Dent,

Le Monde a envoyé plusieurs journalistes et photographes sur le terrain en Ukraine, mais aussi en Russie, en Roumanie et en Pologne.

 

19:50

Joe Biden appelle les entreprises à se protéger de possibles cyberattaques russes

 

Le président américain, Joe Biden, a appelé, lundi, les entreprises à se protéger d’éventuelles attaques informatiques menées par la Russie en réponse aux sanctions occidentales imposées à Moscou pour son offensive en Ukraine. « Mon gouvernement réitère ces mises en garde en se fondant sur des données en constante évolution des services de renseignement selon lesquelles l’Etat russe envisage différentes pistes de cyberattaques potentielles », a écrit le président américain dans un communiqué diffusé par la Maison Blanche.

19:41

L’UE prête à prendre de nouvelles sanctions contre la Russie, déclare Josep Borrell

L’Union européenne est prête à prendre de nouvelles sanctions contre la Russie, a déclaré, mardi, le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell. S’exprimant pendant une conférence de presse à l’issue d’une réunion des ministres des affaires étrangères des Vingt-Sept, Josep Borrell a, par ailleurs, accusé le président russe, Vladimir Poutine, d’utiliser les réfugiés comme une arme.

19:40 Vos questions

Bonsoir, est-il exact que Chulpan Khamatova l’actrice de Good bye Lenin àa quitté la Russie ? Beaucoup d’artistes sont partis?

Negel

Bonsoir Negel,

L’actrice russe Chulpan Khamatova a bien annoncé son départ pour la Lettonie. Dans une interview accordée à la journaliste russe Katerina Gordeeva et diffusée dimanche sur YouTube, l’actrice de 46 ans, connue pour ses rôles dans Good Bye, Lenin ! ou, plus récemment, dans La Fièvre de Petrov, de son compatriote Kirill Serebrennikov, explique qu’elle se trouve depuis plusieurs semaines dans la capitale lettone.

Nous sommes actuellement en Lettonie, à Riga (…) parce que je ne peux pas dire que la douleur d’autres personnes, la tragédie que vivent d’autres personnes, la catastrophe humanitaire, a quelque chose à voir avec une libération. (…) Je n’étais pas en Russie, j’étais en vacances quand la guerre a commencé. Au départ, je pensais qu’il fallait attendre, ensuite j’ai signé une pétition contre la guerre, puis on m’a fait comprendre qu’il serait préférable de ne pas retourner en Russie.

Selon elle, deux options s’offrent à elle si elle souhaite retourner dans son pays sans passer par la case prison : « Arrêter de dire que c’est une guerre, que c’est une tragédie » ou « demander pardon de ne pas avoir soutenu l’opération militaire ». Mais, assure-t-elle, « je ne suis pas capable d’ignorer ce que je vois de mes propres yeux (…), je sais que je ne suis pas une traîtresse. (…) J’aime profondément mon pays ».

 

19:31 Vos témoignages

Bon, voila, vous avez gagné, j’ai fini par m’abonner. J’espere que vous êtes contents de vous : à force de travailler correctement, vous m’avez fait craquer. Maintenant, je vous tiens à l’oeil, vous reposez par sur vos lauriers. Et moi, j’ai 403 articles payants debloqués que je n’avais pas pu lire à aller me farcir maintenant. Vraiment, bravo 😉

Vladimir Pourfairelavaisselle

 

Merci Vladimir Pourfairelavaisselle ! Bonne lecture… mais gardez aussi un peu de temps pour continuer à lire le live !

 

19:27 Vos questions

Il me semble avoir vu passer un appel à témoignages sur l’impact psychologique de la guerre en Ukraine. Est-il paru ?

19:16 Sur le terrain

A Loutsk, la hantise d’une attaque biélorusse

 

La population de cette ville du nord-ouest de l’Ukraine redoute l’intervention de son voisin biélorusse, alors que Minsk a rappelé l’ensemble de son personnel diplomatique.

19:06 Vos questions

visio entre Biden, Johnson, Macron et Scholz: vont ils se contenter de supputations économiques ou vont ils enfin réclamer un engagement de l’OTAN ?

Nougayork

Bonsoir Nougayork,

A cette heure, le gouvernement italien a rapporté que le président américain, Joe Biden, le président français, Emmanuel Macron, le chancelier allemand, Olaf Scholz, le premier ministre britannique, Boris Johnson, et le président du Conseil italien, Mario Draghi, ont réaffirmé, lundi, leur unité face à la guerre en Ukraine. Au cours de l’entretien téléphonique, les cinq dirigeants occidentaux se sont engagés à coordonner leurs efforts pour accueillir les réfugiés ukrainiens, a précisé Rome.

 

18:56 Vos questions

Dans votre post vous indiquez que « La Russie abandonne les négociations de paix avec le Japon », aucun accord de paix n’ayant été signé après la seconde guerre mondiale en raison d’un différent territorial. De quel différent s’agit-il et quels en sont les enjeux?

Annie

Bonsoir Annie,

 

Le Japon et la Russie entretiennent des relations complexes depuis des décennies. Les deux pays n’ont pas signé de traité de paix après la seconde guerre mondiale en raison d’un différend sur quatre petites îles de l’archipel des Kouriles. Ces îles avaient été prises par l’armée soviétique dans les derniers jours du conflit et n’ont jamais été restituées depuis à Tokyo, qui les appelle les « territoires du Nord ». Si des tentatives de négociations ont eu lieu depuis la fin de l’URSS, celles-ci n’ont jamais abouti.

18:50

Une conférence de donateurs à Berlin pour aider la Moldavie

 

Une conférence de donateurs se tiendra, le 5 avril à Berlin, pour aider la Moldavie, pays frontalier de l’Ukraine, à faire face à l’afflux de réfugiés fuyant l’invasion russe, a annoncé, lundi, la ministre des affaires étrangères allemande. « Avec la France et la Roumanie, nous allons lancer une plate-forme pour aider la Moldavie », a déclaré Annalena Baerbock à l’issue d’une réunion avec ses homologues à Bruxelles.

 

Quelque 360 000 réfugiés d’Ukraine sont passés par la Moldavie, petit pays de 2,6 millions d’habitants, l’un des plus pauvres d’Europe, non-membre de l’Union européenne (UE). La plupart sont ensuite allés dans des pays de l’UE, mais quelque 100 000 sont toujours sur place, selon le ministre des affaires étrangères moldave, Nicu Popescu, qui participait aussi à la réunion à Bruxelles.

 

18:45 Vos questions

Bonjour, qu’en est t’il des anciennes républiques de l’URSS tel que le Kazakhstan, Ouzbékistan ou les autres? Elles soutiennent Moscou, Kiev ou restent neutres? Merci beaucoup

Zares

Bonsoir Zares,

 

« L’Ouzbékistan reconnaît l’indépendance de l’Ukraine, sa souveraineté et son intégrité territoriale », a déclaré, jeudi, le ministre des affaires étrangères ouzbek, Abdulaziz Komilov. Tout en demandant que soit trouvée au plus tôt « une solution négociée » au conflit, le chef de la diplomatie ouzbèke a également précisé que Tachkent ne « reconnaît pas les républiques [séparatistes ukrainiennes] de Louhansk et de Donetsk », dont Vladimir Poutine avait entériné l’indépendance à l’aube du déclenchement de la guerre en Ukraine, le 24 février. L’Ouzbékistan, ancienne république soviétique très dépendante de la Russie sur le plan économique, prend donc ses distances avec Moscou à propos de la guerre en Ukraine. Ce pas de côté, qui fait suite à une réaction similaire du Kazakhstan début mars, est significatif de l’ambivalence de cette région d’Asie centrale naguère incluse dans l’ancienne URSS.

 

Au lendemain du début de la guerre, le Kazakhstan s’était, lui aussi, démarqué de la Russie en affirmant, par la voix de son ministre des affaires étrangères, Moukhtar Tileuberdi, qu’il « n’était pas question [pour son pays] de reconnaître Donetsk et Louhansk ». Le pays a également fait la sourde oreille aux demandes d’aide militaire en provenance du Kremlin. Ce proche allié de la Russie s’est, depuis le début, abstenu de tout soutien rhétorique en faveur de l’« opération militaire spéciale » décidée par Vladimir Poutine en Ukraine.

18:30 L’essentiel

Le point sur l’invasion de l’Ukraine par la Russie

 

  • Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a assuré, lundi, que son pays ne se soumettrait pas aux ultimatums de Moscou et que des villes comme Kiev, Marioupol et Kharkiv n’accepteraient jamais d’être occupées. M. Zelensky a appelé l’Union européenne (UE), en particulier l’Allemagne, à cesser tout « commerce » avec la Russie, notamment à refuser ses ressources énergétiques. Les Européens, très dépendants des hydrocarbures russes, ont exclu jusqu’à présent de sanctionner ce secteur, très important pour l’économie russe.
  • L’armée russe tente toujours d’encercler Kiev (Nord), la capitale, où un nouveau couvre-feu a été instauré à partir de lundi 19 heures (heure à Paris) jusqu’à mercredi 6 heures. Les bombardements se sont poursuivis, notamment contre un centre commercial dans la nuit de dimanche à lundi, tuant au moins huit personnes. Selon le maire, six immeubles résidentiels, deux écoles et deux crèches à proximité du centre ont été endommagés. La moitié des 3,5 millions d’habitants de Kiev ont fui.
  • Kharkiv (Nord-Est), deuxième ville d’Ukraine, est assaillie par les forces russes sur plusieurs fronts et les grands axes, mais n’est pas encerclée. Les bombardements se poursuivent.
  • A Marioupol, port stratégique assiégé, dans le sud-est du pays, les troupes ukrainiennes ne déposeront pas les armes, ignorant l’ultimatum lancé par la Russie. « Ce qui se passe à Marioupol est un crime de guerre majeur. Les bombardements indiscriminés dévastent la ville et tuent tout le monde », a dénoncé, lundi, le haut-représentant de l’UE pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Josep Borrell.
  • Dans la grande ville portuaire d’Odessa (Sud), plusieurs maisons ont été touchées, lundi, par « un bombardement ennemi », selon l’administration militaire régionale. Il s’agissait des premiers bombardements russes des faubourgs de la ville. A Mykolaïv, plusieurs bâtiments ont également été touchés par un bombardement russe.
  • Pas de bombardement majeur sur l’ouest et le centre de l’Ukraine ces derniers jours.
  • Pas de grande variation sur le front de l’est du pays, où les forces russes mènent l’offensive, entre autres, à partir des territoires séparatistes prorusses de Donetsk et de Louhansk, selon l’Institute for the Study of War (ISW), un think tank américain.

 

 

 

 

 

 

Source : Le Monde

 

 

 

 

 

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