Mauritanie : la covid-19 exacerbe les prix dans les quartiers populaires à Nouakchott

C’est une double peine qui menace les mauritaniens des quartiers populaires : une deuxième vague meurtrière et la hausse des prix des denrées de première nécessité.

 

 

 Malgré une deuxième vague meurtrière du coronavirus qui se stabilise, les habitants des quartiers populaires font face à une hausse des prix des denrées de première nécessité notamment le kilo du riz à 45 ouguiya nouvelle monnaie et le sucre à 30. Même le poulet se vend maintenant sur le marché à 95 nouvelle monnaie.

Une situation de double peine pour les citoyens les plus démunis sous le regard indifférent de l’Etat mauritanien et notamment des services de contrôle économique considérés laxistes depuis l’apparition de la seconde vague.

Ce sont les commerçants véreux qui en profitent au grand dam du panier de la ménagère en net recul avec la crise sanitaire provoquée par la pandémie de la covid-19 qui représente un défi pour le gouvernement pour les prix des denrées alimentaires.

 

 

 

 

 

Cherif Kane

Coordinateur journaliste

 

 

 

 

(Reçu à Kassataya.com le 16 janvier 2021)

 

 

 

 

 

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