En cette période de forte chaleur, les habitants d’Atar souffrent le martyre. Les robinets ne donnent plus qu’un mince filet d’eau et très rarement.
Un problème qui se pose depuis de longues années et aucune solution ne lui a encore été trouvée. Les populations ne s’alimentent que par citernes et à des prix incroyables.
L’électricité, elle, est devenue une vraie arlésienne, celle dont on parle toujours et qu’on ne voit jamais. Les délestages font désormais partie du quotidien. Un troisième groupe électrogène a été pourtant été réhabilité et un quatrième acheminé à partir de Nouakchott mais il n’a toujours pas été raccordé au réseau. Les techniciens qui s’en occupent traînent les pieds. Par incompétence ou pour gagner du temps et donc plus d’argent ? Toujours est-il que les délestages n’ont pas cessé au grand dam des pauvres citoyens.
Source : Le Calame
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