Signalons qu’après son retour d’exil pour mener le combat politique à l’interieur du pays dans la légalité, les ex FLAM ont décidé de muer en un parti politique, dénomé FPC. Les statuts et règlement intérieur sont déposés, le 18 octobre 2014, sous le numéro 4962. Les responsables du parti attendront huit mois pour se voir notifier le refus du ministère de l’intérieur.
Réagissant au refus, le président des FPC déclare, au cours d’un point de presse, la détermination de sa formation à user de tous moyens légaux pour entrer dans leur droit que garantit la loi fondamentale du pays. Dans la foulée, la plaque portant le nom du parti est accroché devant le siège. C’est que la police est venue emporter ce mardi.
Saisie, la chambre administrative de la cour suprême adresse une lettre en date du 3/12/2015 au ministère de l’intérieur. Ce dernier devrait répondre dans un délai n’exécedant pas 30 jours. La Cour suprême attend toujours cette réponse.
La question qu’on se pose aujourd’hui est de savoir, si après IRA, le gouvernement n’est pas décidé à découdre avec les FPC.
Source : Le Calame
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