La vidéo du viol, postée par les auteurs sur Twitter, a été bloquée jeudi. Six jours après les faits, l’adolescente est passée par Facebook pour remercier les gens qui la soutiennent. “Ce n’est pas l’utérus qui me fait mal mais l’âme”, a-t-elle écrit dans son post, une phrase reprise en sous-titre par le journal. Le titre, lui, reproduit une déclaration du ministre de la Justice Alexandre Moraes.
Ce viol collectif qui s’est déroulé à Rio provoque un grand malaise et des questions au Brésil. “Seulement 6 % des cas [de viol] arrivent devant la justice”, indique le quotidien en bas à droite de la photo. Le président par intérim Michel Temer a annoncé qu’il allait créer un organe au sein de la police fédérale pour enquêter sur les violences faites aux femmes.
Source : Courrier international
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