« Les extrémistes de tout poil ont le vent en poupe et à peu près partout où vous regardez, une bonne partie de l’Internet est terrible. »
Et une éditorialiste du Washington Post a même suggéré récemment à Mark Zuckerberg qu’il utilise sa fortune à réparer les dommages créés par son réseau social à la démocratie et au discours civilisé.
L’auteur américain Steven Johnson, qui signe cet article du Guardian, n’est pas d’accord. Il est convaincu au contraire que « l’histoire est du côté de Zuckerberg », ce que certains perçoivent comme un extrémisme galopant serait en réalité « juste le bruit d’un discours démocratique croissant » :
« Il y a plus de voix audibles aujourd’hui, plus de points de vue qui circulent dans l’infosphère. […] Ceux à gauche qui s’inquiètent que Facebook et Twitter aient fait le lit des climatosceptiques et des fanatiques du Tea Party devraient se souvenir que #OccupyWallStreet et #BlackLivesMatter ont tous deux commencé comme des hashtags sur Twitter. »
Source : Rue89
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