Le fils de la victime, Abdel Mejid O. Boukhary qui faisait parti du cortège, avait réclamé l’application du Kissass (loi du Talion) et plus de justice et de sécurité dans la ville.
O. Boukhary a déploré qu’aucun conseiller du président ne se soit présenté pour prendre la lettre dont il était porteur.
Les manifestants scandaient des slogans demandant la sécurité dans les marchés, par le déploiement de patrouilles sur place.
Source : Saharamedias.net
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