Mohamed Ould Abdel Aziz a illustré ses propos par deux cas "inacceptables" qui "ont eu lieu ces derniers temps", a-t-il dit.
Le premier cas s’agit de celui du diplomate algérien, Belkhassem charwati, qui est accusé d’avoir alimenté la presse avec des informations risquant de compromettre les relations entre Nouakchott et Rabat.
Le deuxième est celui du directeur de l’agence marocaine d’information Abdel Hafedh Bakhali accusé lui de verser des sommes d’argent à des journalistes mauritaniens pour se servir d’eux. Le journaliste en question a été expulsé de la Mauritanie en 2011.
Source : Alakhbar.info (Le 28 avril 2015)
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