Selon la déclaration, « la constitution qualifie de crime les pratiques esclavagistes en Mauritanie» et que « le gouvernement a engagé de nombreux efforts pour éradiquer les séquelles du phénomène ».
Le Calam rappelle qu’en mars 2014, le gouvernement mauritanien a adopté une feuille de route pour l’éradication de l’esclavage, un document en 29 points appuyé par le Rapporteur Spécial des Nations (ONU) sur les formes contemporaines de l’esclavage.
L’hebdomadaire note cependant qu’en dépit d’une interdiction par voie constitutionnelle et de plusieurs textes destinés à contrer sa pratique, le phénomène de l’esclavage reste au centre d’une vive polémique en Mauritanie.
Source : Alakhbar.info
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