Il s’agit notamment du Grand Marché de la capitale, du marché des produits alimentaires communément appelé « chare’e errezegh » (rue de l’abondance) et celui des quincailleries qui se trouvent à côté de la Polyclinique.
Les commerçants dans ces marchés, qui comptent parmi les plus importants de la capitale mauritanienne, ont manifesté dans le passé contre les taxes que la CUN cherche à leur imposer et qui peuvent aller jusqu’à 120000 UM pour un seul commerce.
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