Le MAPROM qui lutte "pour l’amélioration de la situation sociopolitique de la Mauritanie" arrive au pays avec "une nouvelle stratégie: il ne s’agit plus de se limiter à la dénonciation et à la protestation contre les problèmes à caractère sociopolitique. Nous allons en revanche contribuer à y apporter des solutions.
Nous allons par exemple mener des reflétions et des études relatives à l’insertion des sortant des universités au marché du travail", a expliqué Dame Bâ, le secrétaire national du mouvement.
L’occasion était aussi pour Dame Ba d’énumérer un nombre de difficultés sociopolitiques dont celles liées à l’éducation "qui ne figure pas dans les priorités de l’Etat". Il a déploré dans le même contexte "une université délaissée et un accès discriminatoire au master".
Il a ajouté que la Mauritanie est "en retard" dans le domaine de la santé mer et enfant et dans la lutte contre l’insécurité alimentaire.
Et si Dame reconnait que l’Etat mauritanien "veille sur la sécurité extérieur", il estime que "l’insécurité règne à l’intérieur notamment dans la capitale Nouakchott où la police a été affaiblie et remplacée par le GGSR", Groupement Général de la Sécurité Routière.
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