Mener un plaidoyer en vue de la responsabilisation et de l’appropriation par les pays des approches relatives au financement interne de la santé et à l’optimisation des ressources. Approuver les recommandations sur l’accès au traitement par les Anti Rétro Viraux (ARV), comme permettant la fin du SIDA ». A Nouakchott, les experts auront également à examiner en vue de son approbation le Programme d’Elimination du Paludisme en Afrique (PEPA), tel que réalisé par huit (8) d’Afrique Australe. Par ailleurs, la réunion des experts de Nouakchott aura à élaborer un ordre du jour pour la 23é conférence des chefs d’états de gouvernements prévue à Malabo le 26 juin prochain. En dépit de réels progrès au cours des dernières années, l’Afrique demeure encore le connu le plus exposé au VIH/SIDA et paye un lourd tribut à la maladie, qui est notamment en progression dans les pays arabes du continent, selon des chiffres officiels.
Source : Mauriweb.info
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