Docteure Fatimetou Mint Mohamed Saleck, candidate au poste de vice-secrétaire général de l’UIT

Notre compatriote, madame la docteure Fatimétou Mint Mohamed Saleck, brigue le fauteuil, très convoité, de vice-secrétaire général de l’Union Internationale des Télécommunications. Présentée par la Mauritanie, la candidature de Mint Saleck a été officialisée, le 20 mai, lors de la célébration, à Nouakchott, de la Journée internationale des télécommunications. Dans son discours, le ministre mauritanien de l’Emploi, de la formation professionnelle, des technologies de l’information et des télécommunications, a justifié ce choix par les très hautes compétences etla grande expérience de cette dame on ne peut plus qualifiée, donc, pour représenter dignement la Mauritanie, au sein de cette instance internationale.

La célébration de la journée intervient quelques semaines après la tenue, début mai, à Genève, du conseil d’administration de l’UIT. Une session mise à profit, par l’ambassade de Mauritanie, pour lancer, au cours d’un dîner auquel avaient pris part des centaines de diplomates et de membres du conseil d’administration de ladite union, la campagne pour l’élection de Fatimétou Mint Mohamed Saleck.

Pour rappel, madame la docteure Fatimétou Mint Mohamed Saleck aura été la première mauritanienne à occuper le poste de ministre délégué aux nouvelles technologies, sous le régime de Maouya Ould Sid’Ahmed Taya. Depuis son départ du gouvernement, elle n’a cessé d’évoluer en ce domaine. Chef d’une entreprise dénommée Servotics, elle a participé à diverses rencontres internationales sur les NTIC. Très passionnée par ces enjeux, Mint Mohamed Saleck dispose, donc, d’importants atouts pour occuper ce poste prestigieux. Dans son discours prononcé lors de la Journée internationale des télécommunications, la candidate – qui a été reçue à deux reprises, dans ce cadre, par le président de la République – a exprimé sa détermination à ne pas décevoir les espoirs de son pays. Et mis à profit la participation, à la cérémonie, de nombreux diplomates et représentants d’institutions internationales, pour demander l’appui de leur pays respectif. Maintenant que la candidature est mise sur rails, il reste, à la Mauritanie, à déployer, durant les quatre mois qui nous sépare d’octobre – date de l’élection – le plus puissant des plaidoyers, pour faire triompher sa candidate.

 

Source : Le Calame.info

 

 

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