Une sale affaire impliquant l’ambassade de France et notre MAEC arrêtée de justesse…

Voilà comment l’irresponsable incompétence de notre ministère des affaires étrangères alliée aux affabulations d’un étranger en pleine crise auraient pu conduire à un drame sans précédent, choquant l’opinion publique nationale touchée au cœur de sa culture insultée de sorte que l’affaire impliquant l’ambassade de France otage d’un forcené serait remontée à la vitesse grand V aux oreilles du chef de l’Etat en personne dont l’entourage aurait alors à répondre de son silence dans cette affaire qui n’a que trop duré et que le chef de l’Etat seul désormais peut régler en donnant les instructions qu’il faut. 

Ainsi lundi avant-dernier, sur les principaux sites d’informations francophones relayés ensuite par les sites arabophones qui auraient repris l’affaire à la façon du téléphone arabe, on aurait eu des articles avec pour titre «  le journaliste blogueur Vlane.aosa arrêté sur ordre du procureur après une plainte via l’ambassade de France par un homme d’affaire français, Pierre B. pour «  enlèvement, séquestration et torture ! » à propos d’un enfant de 6 ans !

On imagine alors le « tollé » car bien entendu avant d’arriver aux oreilles de la presse, toutes les familles concernées seraient sur le branle-bas de combat après un terrible drame au moment où les policiers avec ce petit homme d’affaire français, flanqué de quelqu’un de l’ambassade, serait arrivé chez Vlane pour l’arrêter devant les yeux de son fils se remettant tranquillement de « l’épreuve » de la banale circoncision entouré des soins de sa famille présente et des encouragements de sa mère française via skype et autres. On imagine alors Pierre B., le grand-père français, le visage en rage, les yeux rouges prenant l’enfant des bras des policiers aux cris de « barbares » sans que l’on sache exactement ce qu’eût fait le père journaliste à cet instant précis : se laisser arrêter sans dire un mot pour ne pas traumatiser plus l’enfant qui verrait son père ainsi arrêté avec pour conséquence de croire que son papa lui a vraiment fait du mal ou exploser comme le ferait n’importe qui, ce qui aurait donné à cette scène une dimension autrement tragique même si une telle arrestation eût été le summum du crime. 

Alors nous aurions eu sur les bras une bien sale affaire fabriquée de toute pièce par un vieux libertin sur le déclin, ayant échoué en Mauritanie au hasard de l’aventure il y a bientôt trente ans pour y prendre racine au bénéfice de la beauté des vastes terres et l’hospitalité des hommes pour y prospérer assez modestement mais suffisamment pour avoir quelques passe-droits dans divers ministères mauritaniens au point de se croire tout permis en Mauritanie jusqu’à menacer un beau matin un père mauritanien de le faire arrêter après de criminelles accusations sous prétexte que l’étranger s’est cru responsable de l’enfant au sens « tuteur » légal en Mauritanie car son trafic d’influence lui a permis de recevoir de notre lamentable ministère des affaires étrangères qui l’a refusé à tout l’entourage mauritanien, en toute illégalité comme nous allons le voir, une lettre d’invitation visée pour délivrer un visa pour le fils métis franco-mauritanien du journaliste.

Ce drame aurait pu arriver tel quel et dégénérer avec des conséquences incalculables, tout ça parce qu’un grand-père, pour des raisons inavouables publiquement à moins d’une guerre totale proportionnelle aux abjectes menaces reçues, fait de plus en plus un fixation malsaine sur l’enfant et surtout combien l’ambassade de France et notre procureur de la république ont échappé de justesse à être impliqués dans une affaire juridiquement entièrement favorable au père mauritanien selon une reconnaissance de paternité signée le 18 octobre 2007 au consulat par les deux parents avec la signature de l’ambassadeur de France de l’époque, Patrick Nicoloso, le tout impliquant que l’enfant à naître verra ses parents exercer leurs droits selon le régime de la responsabilité partagée à moins qu’une décision de justice, suite à un litige, ne vienne donner la garde à l’un des parents.

Ce qui signifie, et cela le grand-père français l’ignore comme son complice à savoir notre harki ministère des affaires étrangères, que le père mauritanien a exactement les mêmes droits que la mère française sur l’enfant ! En cela le droit français est devenu parfaitement civilisé peut-être après tous ces pères que nous avons vus pendant des années au JT français déployant des banderoles sur des monuments à la manière de Greenpeace pour réclamer des droits pleins et entiers !

La droit français est devenu si civilisé qu’en la matière sous le régime de la responsabilité partagée, telle qu'elle fut exercée en bonne intelligence avec la mère pendant 6 ans sans aucun problème jusqu’à l’irruption criminelle d’un grand-père fanatique haineux à l’égard des dispositions parentales, intolérant face à la culture islamique mauritanienne et terroriste face aux efforts déployés par les parents pour préserver l’équilibre et le libre-arbitre de l’enfant au fur et à mesure que sa raison prend forme, ainsi ce droit français est si civilisé que pas plus tard qu’hier quand il a fallu renouveler le passeport français du garçon alors à l’étranger, il a fallu que le père mauritanien aille au consulat à Nouakchott faire les formalités d’usage jusqu’à l’authentification de sa signature afin d’autoriser l’Etat français à délivrer un passeport au petit car sans l’autorisation du père, fût-il étranger, cela est impossible sous le régime de la responsabilité partagée !

Face à l’autorité d’un droit pareil comment le ministère mauritanien des affaires étrangères peut-il refuser de viser la lettre d’invitation du père et que vaut légalement en termes de responsabilité une invitation signée du grand-père et visée par le ministère des affaires étrangères ? Elle ne vaut rien et n’eût été notre accord verbal comme toujours en bonne intelligence avec la mère, nous pourrions, dans l’absolu, porter plainte pour complicité de détournement de mineur car même si la mère accepte cette invitation, elle est contestable en droit si le père refuse sous le régime de la responsabilité partagée car sous ce régime tout doit être fait d’un commun accord et seul ce commun accord permit de laisser passer ladite invitation du grand-père car l’incompétence et la folie administrative de notre ministère des affaires étrangères a refusé de viser une lettre d’invitation du père sous prétexte que cette lettre ne portait pas en-tête d’une entreprise et persiste depuis à ne rien faire pour régler cela car culturellement le mauritanien ne s’excuse jamais et ne reconnaît jamais ses torts car c’est une faiblesse. De là que l’Etat persiste dans la sottise quand sur internet quelqu’un montre ses carences et ses bêtises juridiques jusqu’à ne pas sanctionner ceux qui ont pillé aux sénégalais la loi sur la cybercriminalité. Au contraire, l’Etat fait tout pour tracasser le citoyen qui donna l’alerte !

 

Ce délire administratif eût été à l’origine du crime évité de justesse impliquant l’ambassade de France car on imagine le grand-père débarquant à l’ambassade en sueur et en rage, refusant de comprendre que la circoncision était prévue de longue date avant la naissance entre père mauritanien et mère française au courant de tout et ayant d’ailleurs tout suivi grâce à la magie des nouvelles technologie, on imagine donc ce fou furieux appelant à tout-va ses contacts à l’ambassade et dans tout l’appareil d’Etat mauritanien pour leur livrer une version fausse à tous les niveaux de l’affaire en leur disant : « ma fille a un enfant avec un mauritanien, par humanité j’ai accepté de faire une lettre d’invitation afin que le petit puisse voir son père. Cette lettre est visée par le ministère des affaires étrangères mauritanien qui me donne ainsi la responsabilité sur l’enfant le temps de son séjour. Sans m’avertir et certainement sans avertir sa mère, il a décidé de couper le petit, aussi l’enfant n’ayant que la nationalité française, je veux porter plainte comme je l’ai dit au père ce matin pour enlèvement, séquestration et torture et mettre l’affaire sur internet, récupérer mon petit-fils et le ramener à sa mère. »

A cette ligne, au-delà des arguments précédents à propos de la responsabilité partagée, nous disposons des documents de voyage du petit en UM via Mauritania Airlines ( qui s’en sont occupé comme d’un petit prince), prouvant qu’au départ malgré la lettre d’invitation du grand-père sans laquelle en effet il n’aurait pas eu de visa à cause de la folie administrative mauritanienne, c’est le nom du père mauritanien qui figure à la case «  accueil à l’aéroport ». Sans parler que tout étant naturellement aux frais du père mauritanien, on se demande bien ce que le grand-père délirant appelle «  enlèvement ».

Quant à la séquestration, jamais ce vieux païen n’a été interdit de voir le petit. Au contraire, même après ses menaces, on le laisse des après-midi et des soirées chez ce païen bien que dans le cas d’un métissage franco-mauritanien autant dire au sens républicain un métissage laïco-islamique seuls les parents ont le droit de faire boire ou manger quelque chose que l’une des parties estimerait contraire à sa culture ou à sa religion. 

Quant à la torture : passons sur l’insulte et le mépris à propos d'une pratique qui est non seulement recommandée depuis 2007 par l’Organisation Mondiale de la Santé 

http://www.who.int/mediacentre/news/releases/2007/pr10/fr/

mais c’est en plus une pratique culturelle dont le petit est le fils et dont la terre a donné tout ce qu’il a à cet aventurier arrivé fauché comme les blés sur le dos de son épouse, elle-même formidable grand-mère française du petit.  Quant à la circoncision,  elle fut faite sous anesthésie locale aux mains d’un excellent médecin, urologue d’une part et chirurgien des viscères de l’autre, avec en renfort au cas où, l’œil tranquille d’un grand médecin, lui-même métis de mère maure, spécialiste d’anatomie et cytologie pathologiques, directeur adjoint d’un célèbre hôpital en ville,  prêt à la minute à réunir l’équipe nécessaire au bloc opératoire pour une intervention sous anesthésie générale en cas de complication.

Reste le dernier volet de l’hystérie qui fut de vouloir mettre sur internet l’accusation mensongère qui eût traumatisé le petit et toute sa famille sans parler des conséquences diplomatiques vu que le grand-père voulait abusivement impliquer l’ambassade de France et le bras policier et judiciaire des autorités mauritaniennes. C’est peut-être la dernière preuve non seulement de la volonté de faire très mal à tous les niveaux mais surtout cela prouve que ce monsieur ne sait même pas à qui il parle pour oser me menacer «  d’internet »  et « d’ambassade de France » comme s’il parlait à un journaliste hors réseau ou à un tirailleur du camp de Thiaroye ou de celui du Courneau dans le bordelais…

Pour internet, il ne pouvait pas savoir à qui il a affaire car à part les marchés, ce qui se passe en Mauritanie ne l’intéresse pas à telle enseigne qu’après près de 30 ans en Mauritanie comme d’autres immigrés de longue de date aussi intégrés, il ne peut pas prononcer une phrase correcte ni aligner 10 mots ni en hassanya ni en poular, en wolof ou en soninké : tout est dit… On imagine d’ailleurs, si l’Etat mauritanien venait à exiger la connaissance d’une langue nationale pour émettre une carte de séjour longue durée, l’hécatombe parmi ces résidents fossilisés imperméables à la rencontre des cultures, si méprisant à l’égard des cultures locales et si gonflés, vivant à huit-clos comme si autour c’étaient des pestiférés alors qu’en France, nos hôtes de cette espèce seraient des gueux ou presque par rapport au confort qui leur donne en Mauritanie cette morgue de békés.

Aussi, quant à internet, grâce à vos divers sérieux partenaires qui reprennent nos articles sur le meilleur de la toile francophone mauritanienne hormis Cridem qui a interdiction de reprendre nos articles pour les raisons que les lecteurs connaissent, c’est tout ce que nous avons pour nous défendre contre des gens dangereux qui ont le bras long, aussi peut-on nous écraser par abus de pouvoir mais pas sans témoin ni en silence.
  
Quant à l’ambassade de France, en plus d'être papa d’un petit franco-mauritanien ce qui signifie que la France et la Mauritanie me sont désormais aussi chères car leurs sangs circulent en choeur là où palpite notre combat, en plus de savoir combien je me bats publiquement pour souder les liens franco-mauritaniens quitte à devoir me battre contre les puissantes forces du refus des deux camps, français et mauritaniens, qui sapent nos efforts par racisme, ignorance et fanatisme réciproques, elle eût vite fait de découvrir que le droit français dans cette affaire est mon premier soutien car avec lui j’ai tous les droits dans cette affaire et sans lui, je n’aurais plus aucun droit vu que l’Etat mauritanien ne voit pas ce ciel que les maures disent dans ce cas-là qu’il ne faut pas lui montrer. L’Etat mauritanien dans ce genre d’affaire est trop heureux de voir un mauritanien se débattre seul comme un châtiment pour avoir osé et le métissage et l’amitié franco-mauritanienne à toute épreuve surtout quand on ne manque pas une occasion de rappeler que sans la France la Mauritanie n’existerait pas et même Aziz serait certainement mort, enterré et oublié.

Ainsi, heureusement, si le discours de Pierre B imaginé plus haut, eût certainement agité à la seconde ses contacts mauritaniens qui alerteraient le procureur jusqu’au sommet de l’Etat pour satisfaire l’homme d’affaire étranger contre le citoyen lambda mauritanien comme c’est toujours le cas au-delà de la propagande nationaliste frelatée avec laquelle le pouvoir fanatise le peuple contre l’occident en général et la France en particulier, voir l’enfumage à propos d’Israël alors que notre diplomatie est dirigée par une authentique relique des années Israël, heureusement donc un tel discours ne risque pas de faire bondir l’ambassade de France habituée aux délires de certains français établis de longue date en Afrique jusqu’à s’en prendre à l’occasion via leurs puissants réseaux même à l’ambassadeur de France avec pour slogan : « Vous partirez ! Nous restons ! ».

Contrairement à l’Etat mauritanien qui aurait arrêté le mauritanien sur-le-champ sans chercher à comprendre persuadé que l’enfant étant dans la paperasse officiellement exclusivement français, le père mauritanien est forcément coupable car ces gens-là avec la compétence juridique que l’on a mille fois démontrée, l’indifférence brutale et l’injustice atavique sont leurs seules ordonnances, on a vu cela mille fois et encore récemment dans l’affaire M., cette affaire de trafic d’influence au bénéfice d’un jeune espano-mauritanien depuis en cavale, recherché par interpol photo à l’appui et mêlant surtout un procureur général mauritanien limogé depuis, aussi, contrairement à l’Etat mauritanien, l’ambassade de France eût pris le temps qu’il faut pour savoir de quoi il s’agit et aurait freiné des quatre fers au premier renseignement pris.

Mais même sans l’ambassade de France, Pierre B. en pleine crise aurait très bien pu avec ses contacts mauritaniens dérouler le scénario de ce drame sans se soucier une seconde de l’intérêt de l’enfant encore en petite convalescence car la cicatrisation est une affaire de 10 jours pendant lesquels tout un rite est prévu pour divertir l’enfant pour qu’il se sente devenir pleinement un homme ce qui compense la petite épreuve.

Pour comprendre comment ce scénario a été arrêté à temps grâce surtout au courage de la mère du petit qui a su affronter la crise du grand-père sans revenir sur son consentement, voici l’histoire des dernières heures avant le coup de fil criminel du grand-père pour lequel nous pourrions déjà porter plainte contre lui pour harcèlement, menaces de dénonciations calomnieuses en vue de détournement de mineur pour le couper de son droit à jouir de la culture afro-arabo-berbère, mais pour l’instant dans un souci d’apaisement, les familles demandent de ne rien faire ni écrire qui puisse rendre invivable le séjour en Mauritanie de Pierre B malgré que celui-ci ait clairement déclaré au téléphone pour achever ses menaces ordurières : « en plus je vais porter l’affaire sur internet ».

Si d’aventure, Pierre B venait à nier ses menaces abjectes administrées avec une insondable volonté de faire mal, les téléphones permettent depuis longtemps d’enregistrer les dernières communications. Nous disposons aussi des sms envoyés après les menaces sordides prouvant la teneur des échanges. De toute façon en cas de procédure judiciaire de ma part, ce qui n’est pas à exclure, ou de la sienne pour diffamation, Mattel conservant longtemps les communications pourra à la demande de la justice fournir la teneur des communications à partir des numéros et de l’heure de l’échange.

Voilà toutes les dispositions prises avant le coup de fil terroriste : la circoncision du petit était prévue de longue date en parfaite intelligence avec sa mère française, il a fallu plus d’un an pour le préparer psychologiquement car ne vivant pas en Mauritanie, il n’a pas pu voir ses frères, cousins, ses amis, les enfants des autres y passer avant lui. Aussi fallait-il des trésors d’imagination et de persuasion pour qu’il accepte d’y aller en toute confiance, chose qu’il fit car pendant l’opération en anesthésie locale, il jouait avec sa petite PSP. La veille, sachant que le grand-père est un païen fanatique et militant au même titre que les mollahs illuminés mais dans le registre inverse, je suis passé chez lui le soir récupérer le petit qui y va de temps en temps, afin de lui dire de garder pour lui son avis sur le sujet ou le réserver à son univers et ne rien dire ni faire devant le petit qui puisse détruire tout ce que la famille et la culture mauritanienne mettent comme stratégie pour le rendre fier de l’acte et l’aider à mieux supporter ce qui, d’une façon ou d’une autre, est un petit traumatisme.

Le vieux païen était en apéro avec un autre français aventurier si on en croit l’immatriculation de la Land Rover de safari devant la porte. Ne voyant aucun intérêt à le déranger vu le peu de cas que je fais de son avis sur le sujet, je lui ai transmis le banal message via son amie, une femme charmante amoureuse de la Mauritanie qui aime, connaît et respecte parfaitement notre psychologie. Elle me demanda si la mère est au courant, ce que j’ai confirmé compriment le fait qu’on puisse m’imaginer faire ce genre de chose en clandestinité et venir la veille prévenir le grand-père alors que je connais la famille depuis plus de 20 ans !

Il était 20H. Aucun coup de fil du grand-père dans la soirée. Aussi me suis-je couché  avec le petit certain que le terroriste a dû se fâcher tout rouge, appeler sa fille, découvrir que tout est fait d’un commun accord comme d’habitude. Hélas, je ne saurais jamais ce qui s’est passé chez cette graine de petit facho pendant la nuit. Toujours est-il que le lendemain, lundi 28 mai à 8H30, j’entends mon téléphone vibrer. Le petit contre moi, je tends la main doucement pour ne pas le réveiller car j’ai compris que c’était le grand-père et je ne pouvais pas le laisser sonner dans le vide car il ne m’appelle jamais, ce devait donc être urgent.

Je décroche et je parle doucement un mot après l’autre pour ne pas réveiller le petit déjà à moitié réveillé par mon geste après une nuit certainement pleine d’imagination en sachant que le lendemain sera le jour J dont on a tant parlé pour devenir un homme dans les meilleures mains :

—« Bonjour pierre… »
Pierre de commencer avec le ton de l’inquisiteur sûr  de son pouvoir de nuisance « on m’a dit que tu voulais couper le petit (sic), X est-elle au courant ? »
« doucement pierre… je vais t’expliquer… »
« non je ne veux pas d’explication, X était-elle au courant ? »
« dou-ce-ment… dou-ce-ment, je suis passé hier chez toi…
« non tu n’es pas passé et d’ailleurs je m’en fous, X est-elle au courant car si elle n’est pas au courant, je vais tout de suite aller à l’ambassade de France porter plainte pour enlèvement, séquestration et torture ! et je vais tout mettre sur internet ! car cet enfant est sur ma responsabilité ! »

D’ailleurs même si la mère n’était pas au courant, est-ce une raison de vouloir porter plainte pour enlèvement, séquestration, torture et mettre le tout sur internet car un père ayant les mêmes droits que la mère a décidé de circoncire son fils ? Car ne pas le faire si la mère est contre revient à donner raison à un des parents contre l’autre. De quel droit ? De là que la responsabilité partagée est un régime spirituel qui ne peut être exercé qu’en parfaite bonne intelligence quand les parents se connaissant assez ont pour l’enfant suffisamment de respect pour le protéger de leurs divergences et ne rien faire qui ne soit d’un commun accord. De là d’ailleurs qu’à cette ligne et à ce jour, le petit n’a jamais rien su ni entendu à propos de cette affaire. Cela dit même si la mère n’était pas au courant, vu qu’il ne s’agit en rien ni d’enlèvement ni de séquestration ni de torture, tout ce qu’elle pouvait faire l’ayant elle-même envoyé chez son père, c’est prendre un avocat faire un procès en France pour changer de régime et avoir la garde en expliquant cet incident.

Cela reviendrait à signifier au père, une déclaration de guerre sans merci à laquelle il répondra ou non selon son bon plaisir. 

Poursuivons… Ainsi avant de raccrocher après ses menaces, le vieux païen  a dit la plus terrible phrase que puisse entendre un père mauritanien chez lui en Mauritanie avec son fils dans les bras qu’il ne voit que rarement, la pire phrase qui soit c’est d’entendre un étranger en Mauritanie surtout de cette espèce, dire à un père à propos de son fils quasiment à l’oreille de ce dernier : « il est sur ma responsabilité » car un ministère des affaires étrangères gorgé d’orgueilleux incapables lui a fait croire cela en visant sa lettre d’invitation après avoir refusé ce droit au père mauritanien alors que même au regard du droit français sous le régime de la responsabilité partagée, le père étranger a exactement les mêmes droits que la mère française ce qui fait que jamais au grand jamais malgré ses rêves les plus fous, ce grand-père ne peut avoir le moindre soupçon de responsabilités à propos l’enfant en présence du père.

Cette phrase fut la plus terrible. Ne pouvant pas engager une discussion avec le petit dans mes bras qui s’est réveillé en entendant le nom du grand-père, je me suis levé et j’ai essayé mille fois de rappeler le grand-père pour lui expliquer ce qui se passe avant qu’il n’aille dans sa folie et son fanatisme ameuter l’état mauritanien très ignorant en matière de droits en général vu le peu de pouvoir que ce terme a chez nous. En vain, le vieux païen ne répond pas.

J’ai dû alors lui envoyer des sms qu’il serait obligé de lire lui assurant que non seulement sa fille est au courant mais que j’allais mettre ses menaces sur internet comme il menaçait de le faire après les restes de ses menaces criminelles.

Aussi, en vertu des droits parfaitement égaux à ceux de la mère française, tant que sera en vigueur le régime de la responsabilité partagée, j’interdis désormais à ce grand-père Pierre B., de faire la moindre démarche administrative à propos de mon fils sans mon autorisation devant notaire si c’est pour venir ensuite me menacer en brandissant une responsabilité fictive inspirée par un ministère des affaires creuses à l’image de son bâtiment qui n’est constitué que d’une façade car l’humour chinois a compris qu’il suffisait de déployer le bâtiment en boomerang afin de donner l’illusion de la dimension alors qu’il n’y a rien derrière car comme la confiture en matière du culture, moins on en a, plus on étale,  sinon je porterai plainte contre lui en Mauritanie via l’ambassade de France et surtout en France pour harcèlement aggravé, tentative de détournement de mineur etc.

De même, tant que sera juridiquement valable le régime de responsabilité partagée, j’invite l’ambassade de France à raisonner leur ressortissant avant qu’il n’en paye en retour le prix sans appel et ne serait-ce que pour ne jamais songer à impliquer l’ambassade dans une affaire  où le père à jusque-là manifestement raison.
De plus, je mets en garde notre ministère des affaires étrangères de tremper en complice dans une affaire de détournement de mineur si ses services osent encore viser la moindre lettre d’invitation du grand-père à propos de mon fils à moins qu’il ne vienne avec sa mère sauf s’il dispose d’une décision d’un tribunal français mettant fin au régime de la responsabilité partagée et qui donnerait la garde à la mère autorisant l’invitation. 

J’appelle encore une fois quiconque a ses entrées dans le makhzen mauritanien, après l’opération commando imaginée par un ministre, à interpeller le chef de l’Etat sur cette affaire avant qu’il ne soit trop tard et qu’il ne l’apprenne que lorsqu’un drame arrivera car dans cette affaire il n’y a pas de sortie possible sinon :

La réforme des formalités de visas pour permettre à un père mauritanien d’inviter son fils fut-il juif sans passer par le grand-père étranger

Réformer le code de la nationalité afin de prendre en compte les cas particuliers notamment celui des mineurs métis n’ayant jamais choisi une nationalité contre une autre car ayant droit d’office aux deux.

Enrôler dans le cas qui nous occupe après décret l’autorisant à la double nationalité ce petit Ould Soueid Ahmed déjà enregistré au Ksar à 3 mois car mauritanien de droit et de sang  dès la naissance car de toute façon comme nous l’avons découvert, les dispositions de la loi française font qu’un binational ne peut se prévaloir de la nationalité française dans son pays d’origine pour demander l’intervention de l’ambassade de France sitôt qu’il y met les pieds ! De même qu’en France, il ne peut se prévaloir de sa nationalité mauritanienne pour demander l’intervention de l’ambassade de Mauritanie. On se demande donc où est le problème pour l’état mauritanien qui peut tout aussi permettre la double nationalité aux mineurs jusqu’à leur majorité puis faire comme les majeurs qui demandent au chef de l’Etat de pouvoir la garder.

http://chezvlane.blogspot.com/2013/12/une-bombe-propos-de-la-double.html

En vérité, comme je le disais tantôt, la Mauritanie n’est dirigée par personne ou si peu. Ceux qui sont au pouvoir profitent c’est tout, le reste n’est que du cinéma ou presque car ils n’ont que deux préoccupations : n’avoir pas le temps d’acquérir au maximum et perdre ce qu’ils ont pris par la force et être jugés même si la crainte d’être jugés n’est plus d’actualité pour personne depuis 30 ans car les juges qui peuvent sévir les valent quant aux autres, ils sont impuissants. De là qu’on peut mettre le doigt sur mille délires et injustices de l’Etat : autant en emporte le vent car le pouvoir n’est préoccupé que par acquérir et dominer pendant que le cinéma occupe le plus grand nombre. C’est l’exacte définition de l’occupation prédatrice mais civilisée.

Quant au petit innocent, dont je ne parlerai plus jamais à moins d’annoncer le décret d’autorisation à la double nationalité car tout a été dit à propos de ce cas qui parle pour tous les autres métis mineurs, il est rentré tranquillement chez sa mère sans rien savoir des menaces que j’ai reçues car malgré tout j’ai permis au vieux païen de lui parler et de le voir malgré ses menaces que j’ai dû avaler comme des couleuvres pendant 15 jours le temps que j’accompagne le petit jusqu’à le mettre à l’abri chez sa mère  avant de répondre aux hostilités qui ont failli faire un mal terrible car c’est le seul moyen d’alerter l’ambassade de France et notre lamentable MAEC pour l’avenir afin de leur éviter d’être embarqués dans un délire qui finirait par leur exploser à la figure et prendre à témoin ceux qui suivent cette affaire scandaleuse à cause de l’incompétence de l’administration mauritanienne, les lacunes et les inepties de notre code de la nationalité et l’indifférence cynique, lâche, cruelle et barbare du pouvoir en la matière.

Quant à ceux qui estimaient que ce linge se lave en famille, ils savent désormais que ce n’est pas une affaire de famille mais une affaire d’Etat où un crime a été évité de justesse impliquant l’ambassade de France, le procureur dans le chaudron abusif d’un grand-père français délirant qui a voulu me faire arrêter en traumatisant le petit au passage avant de mettre le tout sur internet sous prétexte qu’il s’est cru dans son délire bénéficiant de « responsabilité », à cause non seulement des délires administratifs du ministère des affaires étrangères mais en plus de son orgueilleuse incapacité maladive à colmater les fuites lamentables de ses carences quand elles sont manifestes et publiques ; rien n’a été lavé ici qui ne soit d’utilité publique pour l’exemple car à ce sujet comme dans mille autres, je ne dis jamais que l’extrême limite de ce qui peut être rendu public par quelqu’un dont les activités sur internet sont certainement d’un nouveau genre en Mauritanie où tous les cadavres sont entassés dans les placards, de là tant d’impunité. 

C’est justement parce qu’on sait la pudeur que les salauds en profitent persuadés que cela restera tu car ils savent que chez nous rien n’est plus effrayant que le qu’en-dira-t-on or depuis l’affaire du forgeron et, toute proportion gardée, celle du visa en souffrance où personne n’a bougé sinon quelques consciences aussi charitables qu’impuissantes, je n’ai que faire de ce que pensent ces lecteurs-là qui lisent pour se divertir quel que soit le crime sous leurs yeux et dont le silence en tout, porte la marque du cynique divertissement soit du syndrome de Stockholm soit des bourreaux.

J’écris depuis des années to the happy few là où il n’y a que des ennemis à gagner et cela divertit d’autres lecteurs, les plus nombreux, toujours silencieux et passifs même quand il s’agit de sujets explosifs donc qu’on me pardonne si quelquefois je les prends tous à témoin de ce dont parle Aragon quand il dit : «  Dieu le fracas que fait un poète qu’on tue ».

Poète je l’ai été dans ma jeunesse et malgré mille fracas rien n’a pu me tuer…

http://chez-vlane.blogspot.com/2009/12/la-psychanalyse-lepreuve-de-la-foi.html

… jusqu’à ce qu’un étranger avec lequel j’ai des rapports cordiaux depuis 20 ans me réveille chez moi comme s’il parlait à un inconnu, alors que la veille j’étais chez lui à bavarder, pour me dire qu’il va porter plainte via l’ambassade de France pour enlèvement, séquestration et torture et mettre toute l’affaire sur internet car ce fils unique que je tiens si rarement dans mes bras serait sous sa responsabilité à cause d’une lettre visée par notre harki ministère des affaires étrangères qui l’a refusée non seulement au père mais à tous les mauritaniens qui ont voulu intervenir face à cette injustice criminelle au point qu’un deni ministre ait imaginé une opération commando pour contourner le visa à la source !

Maintenant passons. Tout a été dit. Ça suffit, le sujet est clos sauf rebondissement majeur.

Pour le reste, à  propos de circoncision : qui sait que l’église catholique l’a longtemps pratiquée avant de renoncer petit à petit d’abord à cause de l’afflux de croyants non-juifs puis finalement à cause d’une querelle car Jésus était bien circoncis ? D’ailleurs la fête de la circoncision de Jésus est fêtée par l’église catholique et orthodoxe le 1er janvier.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Circoncision_de_J%C3%A9sus

Lire l’article de wiki très intéressant à propos de l’histoire de la circoncision.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Circoncision

 

D’ailleurs, fort de 10 années de commerce avec l’Etat Hébreu, le symbole et patron de notre diplomatie à savoir notre ministre des affaires étrangères, megueul vaïetou dans cette affaire alors que son administration est à l’origine de cette affaire du visa sans laquelle rien de tout ceci n’eût vu le jour et à cause de quoi une sale affaire allait éclater dont ce texte n’est que le générique, le ministre ferait bien de mettre à profit ses contacts en Israël pour en finir avec l’hypocrisie mauritanienne en matière de rapports avec Israël en amorçant la fin du cinéma via une coopération entre gens du Livre comme ce fut déjà le cas avec notre Centre National d’Oncologie entièrement financé par l’Etat hébreu qui a remis les clés à l’Etat mauritanien le 13 novembre 2008 à la résidence de l’ambassadeur SE M. Miky Arbel via le ministre mauritanien de la santé Mohamed Abdallahi Ould Siyam « en présence du représentant du Ministre mauritanien des Affaires Etrangères, du Vice-président du Sénat, du Directeur du Centre, de trois hauts responsables du Ministère israélien des Affaires Etrangères ainsi que des amis d’Israël. »
« l’Etat d’Israël avait décidé de financer et d’équiper un hôpital spécialisé dans le cancer, un mal devenu un véritable problème de santé publique en Mauritanie et pesant lourdement sur le budget national. »

http://actu.cridem.org/archive/article/2008/24624

Ainsi peut-on continuer la coopération israelo-mauritanienne vu que le Centre National d’Oncologie n’a même pas été rebaptisé et tourne à merveille même si  l’Etat Hébreu qui l’a offert fut « invité à quitter le territoire » pour raison de propagande dont le chef de notre diplomatie actuelle en est la preuve symbolique éclatante sans que l’opposition ni générale ni radicale ni les islamistes n’y trouvent à redire car il appartient certainement à un ensemble où l’on doit trouver quelques lots d’opposants en tout genre sans parler des islamistes pourtant spécialistes de la politique politicienne qui fait feu de tout bois à condition de ne pas l’avoir pour rkaïz de la même tente… sinon comment justifier un tel silence par rapport au C.V du chef de la diplomatie de la République Islamique de Mauritanie censée avoir rompu tous ses liens avec l’Etat Hébreu ? S’il était un hartani ou un forgeron, son passif aurait droit à l’indignation collective des silencieux d’aujourd’hui…

Aussi, à propos de la circoncision, pourquoi ne pas faire venir ici une équipe de médecins israéliens avec un lot respectable de matériel pour une mise à jour car les juifs étant, parmi les gens du Livre, les pionniers en matière de circoncision, ils disposent donc d’une expertise antique à l’heure des progrès de la médecine qui peut aider les mauritaniens à mieux approcher l’opération sans passer par la case traumatisme. Ainsi, un ami marabout mauritanien n’ayant eu d’autre choix que de circoncire son fils à Paris chez les juifs car en France pour être remboursé par la sécu il faut une raison médicale, le marabout m’expliqua ébloui combien la science chez eux a fait comme formidables progrès en matière de douceur…

Ewa, excellence, à bon entendeur…
Shalom !

 

Vlane A.O.S.A.

 

Source : Chez Vlane  (le 11 mai 2014)

 

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