Les grosses pointures de l’oppositions radicale, unies au sein du FNDU, ou encre, le leader historique de APP, une figure du CAP, a fait
Ainsi, la configuration de la liste des candidats à la candidature
En effet, le boycott des leaders de l’opposition traditionnel, risque d’enlever à cette présidentielle, toute sa porté, voire toute sa crédibilité.
Profils des candidats
Boydiel Ould Houmeid, leader du parti El Wiam, a fait un score honorable, lors des législatives et municipales passées. L’homme qui s’est voulu adepte du dialogue avec le pourvoir, a fini, par prendre la décision de se présenter, après l’échec des pourparlers.
Ibrahim Moctar Sarr, actuellement député et président de l'Alliance pour la Justice et la Démocratie /Mouvement pour la Rénovation, est connu pour ne pas être partisan du boycott. Réalisera-t-il un bon score, en l’absence des poids lourds de l’opposition démocratiques ?
Lalla Mariem Mint Moulaye Idriss, l’unique femme, parmi les candidats
Les autres candidats indépendants sont Biram Ould Dah Ould Abeid, président de l'Initiative pour la Résurgence de la lutte anti-esclavagiste (IRA), a finalement été, contre toute attente, « accepté » par le conseil constitutionnel. Sa candidature apportera plus de tonus à une campagne qui s’annonce bien morose.
Ahmed Salem Ould Bouhoubeini, bâtonnier de l'ordre national des avocats de Mauritanie, s’est toujours illustré par ses positions radicales, vis-à-vis du pouvoir actuel. L’homme jouit d’une certaine notoriété dans certains milieux, notamment dans les
Enfin, Mohamed Ould Abdel Aziz, élu en 2009, est considéré comme le grand favori de cette élection. No Comment !
Il est à noter que Alioune Ould Bouamatou, homme d'affaires et frère de Mohamed ould Bouamatou-qui avait activement participé à la campagne de Ould Abdel Aziz en 2009-a été écarté par le conseil constitutionnel, pour vice de forme.
Le pouvoir mauritanien a maintenu toutes les dates relatives à l’organisation de l’élection présidentielle, après l’échec du dialogue pouvoir/opposition.
L’opposition qui a annoncé le boycott des élections, a dénoncé « un agenda unilatéral », et pointé du doigt, un enrôlement qui exclue plusieurs citoyens des listes électorales.
Une grande partie de l’opposition avait également boycotté les législatives et municipales, tenues en novembre 2013, pour les
La Rédaction
Source : Le Rénovateur Quotidien
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