L’érudit a défendu l’ONG qu’il préside défiant « quiconque d’apporter des preuves sur des financements étrangers », avant d’ajouter qu’Al Moustakbal n’a pas cherché et ne cherche à troubler l’ordre public.
« Nous sommes une organisation apolitique nous œuvrons pour l’enseignement des préceptes de l’Islam », a-t- souligné.
Répondant à la question d’un journaliste relative à son positionnement face au pouvoir, le cheikh a expliqué : « Nous ne cherchons aucune confrontation et nous ne l’avons jamais cherché ».
« Nous avons engagé une procédure judiciaire et nous souhaitions que le ministère revienne sur sa décision de fermeture de l’organisation », a-t-il conclu.
Source : ANI
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