Alors qu’il évoque le souvenir de ce dernier, l’international français craque (à partir de 4’30) :
« C’est quelqu’un que j’idolâtrais. J’ai vécu tellement de galères avec lui, qu’aujourd’hui, je sais qu’il aurait été fier de me voir comme ça […]. Quand je vous dis des galères, c’est des choses dont je n’ai jamais osé parler à la télé parce que je suis quelqu’un de fier.
Et jamais je n’en parlerai. Je suis quelqu’un qui vient de très loin […]. Il n’y a personne qui achète mon plaisir de jouer au football, parce que c’est ce qui m’a aidé à sortir ma famille de la galère. »
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Et raconte « son obligation » de devenir footballeur professionnel :
« Quand il [son père] était malade à l’époque, je vivais dans des endroits compliqués. Un jour, il m’appelle dans sa chambre et me dit “écoute, moi je vais partir, j’ai laissé de l’argent à ta mère pour l’appartement que vous allez avoir –parce qu’avant, je ne vivais pas dans des appartements. […] Je te laisse la responsabilité de la famille sur les épaules”. J’avais 12 ans. »
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