Ces fonds sont destinés à aider Najah à surmonter les difficultés rencontrées dans pour lever les fonds nécessaires à la réalisation de l'aéroport. Selon une source bien au fait de la question, la SNIM aurait tout simplement acheté le terrain qui devait revenir à Najah sur le site de l’ancien aéroport.
Il est de notoriété publique, que la société Najah fait face à des difficultés énormes qui l’ont obligées à revoir en concertation avec le ministère de l’Equipment, le projet à la baisse. Le premier délai de remise des clés qui était prévu au 28 Novembre 2013 a été repoussé à l’année prochaine, la tour de contrôle initialement prévue à 42 mètres a été ramenée à 36 mètres, le parking prévu pour 1200 véhicules a été ramené à 600 et malgré d’autres avenants secrets la société Najah n’arrive plus à se sortir de ce projet qu’elle avait apparemment pris à la légère. D’autres parts il semble que le bureau français qui a été commis pour contrôler les travaux a rejeté une part importante de la piste principale, qu’il va falloir reprendre entrainant un surcoût considérable pour l’entreprise d’où ses difficultés pour y faire face. Obtenu dans des conditions obscures et à payé par un troc inhabituel, le marché de construction du nouvel aéroport international de Nouakchott n’a cessé depuis son premier coup de pioche de soulever des controverses à tous les niveaux. Aujourd’hui les responsables concernés Sidi Ould Tah et Yahya Ould Hademine sont condamnés à une fuite en avant pour essayer de l’achever dans n’importe quelles conditions.
Source : Mauriweb
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