Le prix du mouton, élément incontournable pour la circonstance, est jugé 'trop cher' par de nombreux pères de famille, obligés de débourser un minimum de 120 dollars américains pour décrocher un animal d’un niveau digne de servir de sacrifice pour une des journées les plus importantes du calendrier musulman.
Il y a également les nombreuses autres dépenses de la famille (habillement) nécessaires à la célébration de la grande fête.
Par ailleurs, en 2013, la fête de Tabaski intervient dans un contexte 'catastrophique' pour les populations de Nouakchott, une capitale dont de nombreux quartiers (y compris en zone résidentielle) sont inondés suite aux fortes pluies d’août et septembre, obligeant plusieurs familles à déménager.
Une situation qui a fortement plombé les activités économiques dans le très important secteur informel et accentué la crise, note Mohamed, commerçant dans un marché de Nouakchott.
Pana 15/10/2013
Source : http://www.afriquejet.com/
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