Le député a requis de l’Ong internationale des cas précis avec l’évocation de noms des présumées victimes, au lieu de données vagues qui ne seraient d’aucune utilité pour le gouvernement pour corriger ces disfonctionnements humanitaires, qui à ses yeux n’existent que dans l’imaginaire d’Amnesty International.
Le député a indexé le communiqué de l’Ong mis en ligne sur son site d’avoir des consonances plus politiques que militantistes, rappelant que la Mauritanie fait des progrès inédits en matière des droits de l’homme particulièrement pour la population pénitentiaire qui jouit selon le parlementaire d’un traitement digne.
Cette sortie énergique du député intervient après les informations s mises en ligne par Amnesty selon lesquelles la Mauritanie fait partie des pays où ses réseaux ont recensé des disparitions forcées en 2012, aux côtés de l’ Angola, du Tchad, de la Côte d’Ivoire, de la République démocratique du Congo, de la Guinée équatoriale, de l’ Érythrée, de la Gambie, du Mali, du Nigeria et du Soudan du Sud.
Pour le cas mauritanien, l’Ong indique que dix-sept personnes, accusées de crimes liés au terrorisme, ont été condamnées à la peine capitale par des cours dont certaines ne répondaient pas aux normes internationales garantissant un procès équitable, selon Amnesty. Amnesty International déplore encore le fait que des personnes soient maintenues en prisons après expiration de leur peine.
Source : Rapide Info le 02/09/2013{jcomments on}
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