Le sit-in était organisé pendant que les concernés par l’affaires étaient devant le procureur de la République. Celui-ci a ordonné à la Gendarmerie d’approfondir l’enquête pour s’assurer si l’enfant était réellement asservi.
Cette décision du procureur a suscité la colère des manifestants qui ont dénoncé le "manque de volonté de l’Etat mauritanien d’éradiquer l'esclavage".
Source : Al AKhbar le 01/09/2013{jcomments on}
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