Ces déficits pourraient, une fois non comblés, provoquer l’arrêt des opérations d’enregistrement.
Le correspondant de l’ANI, citant le responsable local de l’état civil, Habib Ould Rabbani, rapporte que ce dernier a pris contact avec les autorités administratives au niveau de la moughataâ et de la wilaya ; pour les informer du déficit de formulaires d’état civil et d’unités informatiques.
Le même responsable a également informé l’administration centrale de l’état civil de la situation prévaut à Aleg, notamment la rupture de stock des extraits d’état civil et l’absence de base de données fiables.
Le coordinateur d’état civil a en outre souligné que toutes les démarches qu’il a déjà entreprises, n’ont pas encore abouti à des résultats pouvant contribuer à dépasser cette situation qu’il a qualifié de « difficile », dont dépend l’enrôlement des populations.
Source: ANI
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