Il s’agit de bien appartenant à une filiale de la société Naftec, spécialisée dans le transport et la distribution des produits pétroliers. Sonatrach détenait auparavant 51 % de la filiale mauritanienne de Naftec, l’État mauritanien détenait 34 % alors que deux hommes d’affaires mauritaniens en détiennent 15 %. Selon Echourouk, Naftec a réalisé des bénéficies durant les 10 premières années avant d’entamer une chute à partir de 2005 en raison, affirme-t-il, « du non-paiement par le gouvernement mauritanien de ses créances à Naftec qui sont évaluées à 60 milliards de centimes ».
Source : Maghreb Emergent le 18/07/2011